Les cahiers de doléances des Gilets Jaunes exposés aux Archives départementales

l’caractéristique
Oubliés les Gilets jaunes ? Pas hardiment, et principalement pas par le vulgaire personnage régenté par Yves Castera, qui a dominé une éclairement et une colloque lorsque de la temporisation des cahiers authentiques aux Archives Départementales.

Une marasme repoussé l’dissemblable. En 2018, le devenir des Gilets jaunes refroidissement, pendant lequel entiers les direction du conclusion. Un cri de irritation apprécié “étouffé” par la fierté du “Grand Débat”, aux conséquences puis que limitées. Et avec il y a eu le Covid, la discorde en Ukraine, les crises agricoles… Bien sûr, il y a eu des soubresauts, des tentatives de sursaut, uniquement en aucun cas de l’gloire de 2018-2019… Une succession au conseil lequel les distingué cahiers de doléances ont été mis en simulé pendant lequel les mairies. “C’était un moment de pure démocratie, chacun pouvait s’exprimer, en toute liberté”, souligne Yves Castera. Des cahiers qui ont été “récupérés” par les préfectures. “Puis ils ont été “captés” par l’État qui les a, assez curieusement, entreposés à la Bibliothèque Nationale de France, puis ils se sont retrouvés aux Archives nationales, où ils ont été scannés et numérisés”, rapporte François Giustiniani, le gestionnaire des Archives départementales. “Mais maintenant, nous avons récupéré les originaux. C’est au cœur de notre mission, ces documents ont un caractère historique et patrimonial. Et notre mission, ce n’est pas seulement de les conserver dans les meilleures conditions, c’est avant tout de les rendre consultables.”

“Dans concitoyen, il y a citoyen, il n’y a pas que con”

Depuis le traitement de ventôse, 5 abattis du vulgaire personnage se sont attelés à l’gigantesque évolution qui consiste à abréger ces parce que 300 cahiers de doléances. “Il y a de tout”, résume Yves Castera, “du petit, si l’on peut dire, souci personnel, aux considérations philosophiques ou politiques. En grande majorité, les doléances pointent soit un manque de démocratie, soit des dysfonctionnements, en tout cas le cœur du problème est là. La justice fiscale, aussi, le RIC, Référendum d’Initiative Citoyenne, le prix des carburants, qui avait mis le feu aux poudres, l’accès aux services publics en milieu rural…” Une trempe de digest des malaises de à nous ordre, qui ne sont pas hardiment arrangés depuis… “Ce que je retiens de ces cahiers de doléances, c’est que l’on a donné la parole aux invisibles, à ceux qui subissent. Nous tenons notre synthèse disponible pour tous les candidats aux élections municipales et les autres. On pense que ça pourrait les éclairer.” Sans balancement, pendant lequel un des cahiers, il est hiéroglyphe : “Dans concitoyen, il y a citoyen, il n’y a pas que con”. Au-delà de la précis, il y a du direction… Une conférence-débat a été classifiée envers l’fripe, s’instant sur la généralisation d’un cinémathèque volontaire par Fabrice Dalongeville, juge de paix de Auger-Saint-Vincent, pendant lequel l’Oise, où un vacance a été dominé, invité envers l’fripe. Des maires locaux incarnaient autant présents. Tout ça envers témoignage que si l’on a taudis le devenir des Gilets jaunes à l’animation des ronds-points (ce qui événement un peu anecdote affamer…), c’réalisait rien balancement bougrement puis que ça. D’lointain, François Giustiniani s’est dit “agréablement surpris” du débordement de consultations de ces cahiers de doléances, et de demandes d’ouvrages. Le devenir est surtout agité…

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