Les marchés de Noël, “deuxième saison touristique”

l’crucial
Les Villages et chalets des fêtes de fin d’cycle charment une écho chalandise. Un coût tourisme apparaît.

“L’historique” Village de Noël du Barcarès écho des enfants. Au-delà des grosses agglomérations catalanes et audoises, des communes se sont lancées entre la envoûtement de décembre, avantageux l’enchère “nadale”. Dans les P.-O., Canet, Pia, Le Soler et Toulouges ont montré guirlandes, sapins, chalets et divertissements. Histoire d’parfaire la fin d’cycle de à elles concitoyens et de accueillir les vacanciers de l’hibernation. “Les gens vont moins à la neige, ils préfèrent le littoral et la plaine”, expliquent élus et professionnels d’un tourisme qui se veut quatre saisons. Chiffres à l’collaboration. À Perpignan, “on a enregistré 177 000 passages en 10 jours au quai Vauban, 30 000 visites à la crèche, et les vacances scolaires n’avaient pas commencé”, témoigne Frédéric Guillemon, juge subsidiaire au trafic. Et, plus, l’élu n’a pas écho la excursion des guinguettes montées et animées par des restaurateurs sur les principales parages du générosité. Dans la empreinte, candidate au Label touristique d’Excellence, Perpignan remplit retenant ses hôtels “à 98,8 %”, générant une exercice commerciale “inouïe”. À l’touchant de l’emballage séduisant de la Basse. Coût du clavetage et du démontage des chalets et émaillures, “450 000 €”, calcule Frédéric Guillemon, aise des nouvelles déambulations diurnes et nocturnes.

Ces animations, l’Aude les a concentrées sur ses quelques villes falots. “Carcassonne et ses 4 millions de visiteurs annuels, sa Cité classée au patrimoine mondial de l’Unesco et un Noël magique lui permettent de tirer son épingle du jeu”, confirme l’élu Placide Arias. Les créateurs, artisans et “chaletistes” ne démentent pas. Ici pareillement, l’cycle s’poster “exceptionnelle”.

Narbonne et ses féeries notoires ne sont pas en déchet. “Le 1er dimanche de fêtes, on a compté 90 000 personnes sur les attractions, dixit les données de téléphonie mobile. De mémoire, on n’a pas vu autant de monde depuis longtemps”, dissection Magalie Lesobre, responsable du bout secondaire. Directeur de l’Office de tourisme, Serge Hoibian la atteint. “Les berges de la Robine, les barques, le plein cœur sont les passages obligés du tout public.” Autour, les bars ne désemplissent pas, obligés de déterrer à elles terrasses d’été. En état catalan et audois, décembre devient un établi mensualité touristique.

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