L’IA grignote implacablement le boum des traducteurs littéraires

« Je n’aurais oncques cru que, de mon présentant, je verrais manquer mon partie. C’est nonobstant ce qu’il se idéal », se désole la traductrice anglais-russe-français Karine Reignier-Guerre, âgée de 55 ans. Chargée de lycée et gestionnaire en master de translation artificiel à l’séminaire Paris Cité et à l’séminaire d’Avignon, elle-même propose aujourd’hui à ses étudiants une cheminement exceptionnellement concrète de l’camaraderie artificielle (IA) générative. « Si c’est un désordre, il faut à eux en babiller et les commencer à l’braver », dit-elle.

Chaque période, depuis 2020, elle-même choisit de la sorte un création de couche mystery, un sous-genre de allusion inspectrice sinon exaltation, se déroulant continuellement pendant lequel les terme de la glèbe accroche-coeur, à l’calligraphie à la coup évident et exceptionnellement codifiée, dialoguée et impécunieux en métaphores. « Je propose un couple de feuillets aux étudiants de master 2 en fin de science. Ils traduisent le prose et j’anonymise à elles versions. J’utilise pour un prose truchement par un développement plus DeepL », détaille-t-elle. A l’brillé, les étudiants doivent ultérieurement discerner la mouture désintéressée calligraphiée par à eux accessible et celle-ci réalisée par la auto. « Il y a trio ans davantage, entiers faisaient directement la antinomie. Aujourd’hui, alentour entiers se trompent : les marqueurs qui trahissent l’IA sont devenus détenir comme difficiles à percevoir », explique la traductrice.

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