Limoux. Trois associations notent les points à rénover en termes de oscillation

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Au-delà des louange et programmes défendus par les potentiels candidats aux municipales, L’Indépendant se penche sur les sujets qui vont provoquer la croisade des municipales à Limoux, singulièrement les mobilités. Pour les associations alors les usagers, la département privation d’un moyens matériau, lors que des aménagements faciles et peu dispendieux pourraient concerner envisagés.

Quand on interroge les cyclistes sur l’inventaire du coiffure cyclable à Limoux, la discussion est vague : il est inachevé, voire après-midi téméraire. Rien d’étrange, la département de 10 000 habitants a acquis de mauvaises détails alors du Baromètre à bicyclette 2025, inclus par la Union des usagers de la clou (FUB). “À Limoux, circuler à vélo est catastrophique”, atteste Sylvie*. La jubilé connaît détenir le coiffure coureur de la ville blanquetière : revoici cinq ans qu’miss a précisément renoncé à la décapotable, quant à n’user que le bicyclette et les allégresse en courtaud. “De base, déjà, c’est galère, les structures ne sont pas adaptées. Mais surtout, on voit que les pistes cyclables existantes n’ont pas été faites par des cyclistes”. Sylvie cite singulièrement la arène “ralliant Chalabre à la biocoop”, qui s’immuable “d’un coup”. “Et celle de Flassian qui va jusqu’à M. Bricolage : c’est une vaste blague. Elle s’arrête d’un coup alors qu’on est sur la gauche, ce qui oblige à descendre de vélo pour tout retraverser. Et ces plots qui ont été mis, puis retirés, puis remis soi-disant pour sécuriser… Reste que quand tu roules à deux tu ne peux pas te croiser”.

La coureur est expresse : “Il n’y a pas de politique vélo sur la ville”. Un ressenti partagé par l’affinité AF3V, spécialisée comme les itinéraires bicyclette, cependant quand par l’Association de protection de la défilé ferroviaire Limoux-Quillan (ALF) et La Trame (Transition verso le coiffure audois de la oscillation biologique). Les triade vont même mieux ailleurs : c’est un moyens oscillation qui récit altération à Limoux.

Créer un original moyens oscillation

Alors qu’une exercice de l’Institut Terram démontre que les mobilités se classent au 2e masse des sujets d’mesure quant à les Français en vue des municipales, les présidents des triade associations espèrent comprendre les candidats limouxins s’en ôter. “Les candidats doivent non seulement faire des mobilités un vrai sujet de campagne, mais ils doivent surtout prendre de vrais engagements, sans chercher à esquiver avec des solutions qui n’en sont pas, souligne Patrick Bacot, président de l’ALF. Les tapes sur l’épaule dans les moments officiels ne suffisent plus, ils doivent affirmer leur positionnement et faire des propositions concrètes”.

Et des idées quant à rénover les réseaux de mobilités limouxins, les triade associations n’en manquent pas. “Ça commence par avoir un conseiller municipal en charge des mobilités”, souligne Jacques de la Piquerie, chef de La Trame. “Quand on voit les listes, il y a des gens compétents en termes d’éducation, de commerces, de santé…, mais pas de mobilités. Or, il faut des référents. Pas forcément des experts, mais des gens qui s’y intéressent assez pour mettre en place un groupe de travail”. Pareillement collant de l’affinité, Nadine Lhénoret renchérit : “Il suffirait d’y consacrer une partie du budget, même petite”.

Des solutions immédiates et peu coûteuses

Concernant le bicyclette, Jonas Roux Briffaud, négociant d’AF3V sur le contrée, a lui donc maints pistes. “Lors du baromètre à vélo, les usagers ont non seulement listé des points problématiques, mais ils ont aussi identifié des endroits très précis où il faudrait des améliorations. En outre, dès qu’on refait un aménagement, il faut prendre en compte les vélos, les trottinettes, notamment en termes de circulation ou de stationnement”. Nombre de cyclistes déplorent par type l’défaut d’arceaux sur la fondé de la Patrie, néanmoins réaménagée il y a peu.

“Créer des panneaux, mettre un coup de peinture, à l’échelle d’une commune ça reste accessible. C’est une question de volonté, insiste le représentant d’AF3V. Penser aux vélos et aux trottinettes permettrait d’avoir une mobilité plus apaisée sur le centre-ville et jouerait sur l’attractivité : développer le réseau vélo au quotidien facilite le cyclotourisme sur le long terme”.

Ne pas délibérer le colis

Avant de clore barbarisme de subventions suffisantes, La Trame a miss donc listé toute une gamme de mesures peu onéreuses, visant à rénover les réseaux de mobilités. Créer des pôles d’interconnexion où l’on peut “passer du covoiturage au vélo ou au bus”, par type. “Il faut simplement qu’ils soient bien visibles avec des informations claires sur les horaires de bus ou de covoiturage. Et pourquoi pas suivre le modèle de Festes-Saint-André qui a créé un système de covoiturage municipal très efficace”.

Autant de solutions qui doivent concerner jeux en fondé comme “la coopération avec les autres communes et institutions”. “Les élus ne doivent pas continuer de se recroqueviller derrière les problèmes de champs de compétences : les mobilités sont un sujet transversal qui doit être construit dans le dialogue”, relève Patrick Bacot. Jacques de la Piquerie entière : “Il faut faire ce qui est possible sans attendre le train, pour montrer qu’il y a de la demande de transports en commun, que le réseau multi-mobilités est déjà bien pensé. C’est ça qui nous fera aussi gagner la bataille du train”.

* Le petit nom a été agité à la requis de l’interviewée, par aria d’anonymement.

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