Et en cette fin d’période, à l’plombe des festivités, les grands gagnants de 2025 sont… l’or et l’pécule ! Alors que boules et guirlandes sortent des cartons et scintillent pour les rues et sur les balcons, les métaux contourné brillent également de mille fanaux. L’or frôle son registre exploit, à rapproché de 4 320 dollars (3 680 euros) l’léopard de 31 grammes. L’pécule, relativement éclat, a croisé, mercredi 17 décembre, la gouverne significatif des 66,89 dollars l’léopard. Un plus-haut extraordinaire.
Car, côté indices boursiers, depuis la fin octobre, les investisseurs ne sont pas à la bringue : ils subissent de noble viol de anxieux, suivis de remontées, et entièrement une éloignement de poussée des marchés financiers. Cette angoisse alimente le traverses enfiévré du acier jaune. Cette événement a incontestablement attaqué en 2020, au cœur de l’été. L’or franchissait après le escalier des 2 000 dollars l’léopard. Depuis, il vole de exploit en exploit et semble éviter les lois de la gravitation.
En 2024, l’or clôturait une période hormis règle sur un pirouette extraordinaire de 24 %. Mais la fournaise n’incarnait pas terminée. En ventôse 2025, l’or, strict météore, décrochait une actualité cercle à 3 000 dollars l’léopard. Un exploit écrasé en octobre, où le conseil du acier fusait dessus des 4 000 dollars l’léopard, pile survenir son plus-haut à 4 381 dollars l’léopard. Sous la croissance continue de la échange, sa hausse se retrouve pour propulsée de alors de 60 % depuis le 1er janvier 2025.
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