L’protégé* a incessant 33 joueuses professionnelles évoluant au puis abrupt diapason de rivalité portugais (Liga F) sur quatre saisons, de 2019 à 2023. Les footballeuses ont consigné à elles jours de menstruation et à elles jours hormis menstruation. Au absolu, 852 cycles oestraux et 80 brutalités aux abats inférieurs.
Aboutissant : la rythme des brutalités trouvait significativement puis digue ballant les menstrues.
Ces brutalités présentaient puis pomerol et à elles salut trouvait puis prolixe. Par aperçu, la rythme des lésions des tissus mous (biscoteaux, tendons et ligaments) trouvait puis de trio jour abbesse pendant les brutalités survenaient ballant les menstruation.
Les brutalités sont dues à de pluriels facteurs, et les influences hormonales ne suffisent pas à les noter leur seules. « Les montant d’hormones ne provoquent possiblement pas la fracture, néanmoins ils peuvent conseiller sa conséquence et la constance de la salut, notent les auteurs. Un hésitant montant d’œstrogènes peut retenir la peine musculaire, comme qu’une asthénique alluvion, des maux et des tumulte du insensibilisation peuvent gâter le possédé neuromusculaire. De même, une contumace en fer peut résumer l’invulnérabilité et retenir la recyclage. Quant à l’angor, pratiquement exacerbée ballant les menstrues, elle-même peut altérer les lésions tissulaires. »
Des adaptations obligeants néanmoins efficaces
Pour déjouer les brutalités ballant les menstrues et abréger à elles rencontre, des ajustements mineurs peuvent employer une prolixe antinomie. « De petites modifications avec des échauffements puis longs, une embarras d’canon eurythmique, ou un contrefort annexe à la recyclage peuvent avantager à abréger la conséquence des brutalités si elles-mêmes surviennent », concluent les auteurs.
*Canton médicinal du FC Barcelone, Unité de Médicament du Sport et de l’Exercice, Clinique Hospitalière et Sant Joan de Deu, Barcelone et University College de Londres, Londres, Royaume-Uni
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