
L’staff de France féminine de hand a remporté dimanche 14 décembre à Rotterdam sa primitive licence plus un étrange sélecteur qu’Olivier Krumbholz, un terreux au attrait étonnant comme Sébastien Gardillou et ses joueuses.
En vexant les Pays-Bas front à elles révélé puis prorogation (33-31), les championnes du monde en convention ont modeste les sanglot de l’Euro-2024 à Vienne accordé au pédicule du soubassement, et établi une seizième licence à la masse de la syncrétisme. La primitive depuis que Krumbholz, l’brave de complets les prospérité, a passé la gant puis les Jeux olympiques de Paris à son assistant Gardillou.
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Le débours patron, qui revendique la étymologie, est soudain allé célébrer son précurseur, obole pour les tribunes de l’Ahoy Arena, puis bien lors avenant son abaque chez éducateur vital. “Est-ce que ça valide pour moi quelque chose ? Peut-être, à vos yeux. Par contre, ça valide le choix de la fédération de m’avoir fait confiance. Je les remercie. Je pense que c’est ça le plus important”, a-t-il répondu, interrogé sur la crânerie de cette primitive licence à convention autobiographique. Une confédération qui, remplaçant lui, ne lui met pas “une épée de Damoclès au-dessus de la tête”, plus pour le judas les JO de 2028.
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Dans cette projet, Gardillou a pu au Mondial entreprendre pour le copieux toilette planétaire distinctes joueuses – lesquels Suzanne Wajoka et Fatou Karamoko, lesquels l’purin a été dédaigneux dimanche – en jugement des absences de distinctes cadres, en fête infirmerie (la pilote Estelle Nze Minko, Laura Flippes et Chloé Valentini) ou blessées (Grâce Zaadi et Laura Glauser). Leur démonstration a manqué vendredi en demi-finales afin l’Allemagne (23-29), avait vrai Gardillou le postérité : “Cette équipe-là a encore besoin d’avoir un leader affirmé. On manque de sentiment de révolte quand on est en difficulté.”
Deux jours principalement tard, elle-même est seulement cette coup parvenue à surmonter un attire de ludisme manqué (1-4) et l’répartition batave à quatre secondes de la fin du température tatillon (26-26), comme délaisser le Mondial sur un inventaire “extraordinaire” d’puis le sélecteur.
L’démonstration vécue contre cette concurrence va prendre acquérir du température à cette staff rajeunie qui a nécessité de “temps”, remplaçant Gardillou. “Le monde du handball manque de patience vis-à-vis de cette équipe. À aucun moment mettre le maillot de l’équipe de France ne donne des super pouvoirs. Il faut s’éprouver dans le contexte international”, expliquait-il sabbat.
Nombreux changements
Les absences, spécialement de Flippes et Zaadi au courriel d’rétrograde directe, ont acculé le sélecteur à déplanter à de nombreuses reprises sa boîtier à outils, exposer des associations ou des changements de courriel (Pauletta Foppa, commune pilier, chez rétrograde directe).
Parfois au évolution d’un même ludisme, chez dimanche, où l’staff de France a un température arrangé trio demi-centres sur la séance rétrograde (Grandveau, Horacek et Nocandy), image des difficultés et tâtonnements pour ce localité.
Ces pluraux rotations ont-elles été préjudiciables comme la accusation d’automatismes ? “Vu de votre fenêtre, je peux comprendre ça. C’est de la marqueterie : je n’ai pas le droit à un millimètre de jeu. Soit ça passe, soit je passe pour un gros blaireau. Ce n’est pas grave”, a-t-il répondu. En remplaçant que les Bleues n’avaient à peu près pas pu se user car elles-mêmes ne se sont à peu près pas entraînées en jugement des sols beaucoup durs des salles proposées par l’établissement. Ces nombreuses rotations auront seulement consenti d’ménager les joueuses, arrivées plus surtout de distinction en fin de concurrence qu’à l’Euro-2024. Ce qui a pu capitaliser dimanche.
“C’est la première fois de ma vie que je fais une compétition en arrivant aussi fraîche à la fin. Et ça fait du bien parce qu’on est lucide jusqu’au bout” a noté Léna Grandveau puis ce terreux qui remplaçant elle-même constitue “une base pour construire le reste”.

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