Bougés dans lequel le jeu au sol ces double dernières semaines, les Castrais seront encore mis à difficile rivalité dans lequel ce situation à Montpellier ce sabbat 20 décembre, afin le répétition au Top 14.
Tous les fans de Formule 1 savent quel nombre l’conclusion de sol pèse dans lequel la triomphe et l’approbation à la voie d’une monoplace. Au rugby, c’est un peu adéquat, intégraux savent quel nombre le jeu au sol a lui encore un choc grand sur la imposition d’une staff. Parler de lancements, de passes après-contact ne devient approuvable, ou du moins est naturel, qu’en fournissant cet difficulté davantage Cosmos à Cosmos. “C’est sûr que si tu es bien là-dedans, tu peux avoir de bonnes libérations, puis le 9 et le 10 peuvent faire les annonces. Et donc jouer plus vite”, sait incontestablement le talonneur du CO Teddy Durand.

Sauf que les Tarnais n’ont pas franchement été dans lequel à elles souliers lorsque de la quinzaine intercontinentale, que ce paradoxe à Gloucester ou aussi grâce à Édimbourg à Pierre-Fabre dimanche 14 décembre. “Je craignais ce secteur, avouait le manager olympien Xavier Sadourny après la large victoire face aux Écossais (33-0). On n’a pas été très bon en Angleterre dans ce domaine, notamment sur tout ce qui concerne les attitudes du porteur. On ne travaille pas assez au sol. On doit être plus précis, nos soutiens plus présents, afin de mettre de la vitesse dans notre jeu ensuite.”
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Les “bleu et blanc” s’accordent intégraux à assurance que la intermittence de redoublement est convenablement conséquente dans lequel cette discorde des rucks. Et si les équipes “anglaises aiment venir chercher les françaises là-dedans” indiquait Baptiste Delaporte, le MHR, comme qui se déplace le CO ce sabbat 20 décembre, n’est pas en rallonge non davantage.
Trop de ballons perdus au sol
“C’est vrai qu’on s’est fait un peu taper sur les doigts après la Champions Cup, soulignait Durand. Et c’est normal, car on s’est fait chacailler sur les deux rencontres. On a beaucoup travaillé dessus, y compris cette semaine parce que Montpellier est très bon. Avec la mêlée, ça fait partie de leurs points forts.” Alexandre Bécognée ne sera pas là, seulement des Lenni Nouchi, Bastien Chalureau ou Florian Verhaeghe ne sont pas les derniers afin disposer la physionomie, avec Delaporte ou Vanverberghe côté Tarnais.
Les Héraultais n’auront sinon angoisse pas oublié de positionner cet mine du jeu où les Tarnais ont vagabond bon masse de ballons la semaine disparue, que ce paradoxe par “indiscipline ou fautes de main” notait Delaporte, qui dénombrait sept pertes de appartenance dimanche 14 décembre, globalité en saluant “du mieux en seconde période avec des libérations plus rapides”.
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Le copie imposé à Montpellier ne sera en raccord pas néanmoins lié à l’challenger. “En Top 14, on est quand même beaucoup plus sur de la collision, de la domination physique, qu’en Champions Cup. Les rucks sont différents.” Et Durand d’renforcer : “Au-delà de parler d’un secteur particulier parce que très dur, les arbitres aussi ont chacun leur sensibilité. Il faut aussi s’adapter à leur façon de juger.” Afin de ne pas absenter en virevolte inconscient.

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