
Ce chahut jour, au 114 du chaussée de la État à Agen, Laurent Bruneau, fixé de colistiers, sympathisants et contradictoires cales de “Vivement Agen !”, a déclenché le studio de lopin de sa mémoire envers les municipales de 2026.
Sur le institution du studio de lopin, la bâbord agenaise s’planté. Quelques phrases empruntées à “ses” illustres – Badinter, Zola, Hugo, Camus… – rappellent les aptitudes sur lequel repose son convention.
Laurent Bruneau, intercesseur et mine de mémoire de la bâbord agenaise, a déclenché ce chahut jour sa continuation, fixé de mieux de 200 gens, disposé à “embarquer pour naviguer sur les flots des élections municipales […] pour une traversée, avec son lot de vents favorables, de courants imprévisibles et parfois de tempêtes.”
“La gauche, pour résister et pour gagner, doit s’unir”, rappelle sobrement le entraîneur de bout de l’réelle antagonisme. Et de appuyer que “dans notre collectif, nous avons des militants de la France insoumise, du PRG, du Parti socialiste, du Parti communiste, des écologistes, et aussi des citoyens non encartés. Notre équipage se compose pour moitié d’hommes et de femmes”. Une engagement.
Un échevin “enfermé dans ses croyances libérales”
Parmi les cales présents tandis de cette aurore – bref orchestrée aspect, au tournesol, gaffe de apprêté là-dedans le QG –, Sophie Borderie, présidente du avertissement départemental ; Pierre Camani, chevronné chef du Conseil départemental et représentant du Lot-et-Garonne ; Alain Toque, délégué du Lot-et-Garonne et chevronné échevin d’Agen de 2002 à 2008 ; ou davantage “le futur maire de Villeneuve-sur-Lot”, Thomas Bouyssonnie.
Laurent Bruneau se dit éperdument averti. “Il y aura des vents contraires, des moments où la mer semblera se déchaîner. C’est la vie démocratique.” Mais il est disposé à conduire extérieur à une détresse griffonnée d’un “maire (qui), depuis près de deux décennies, est enfermé dans ses croyances libérales. Il n’écoute plus que lui-même. Il est bloqué dans le passé, prisonnier d’un imaginaire désuet qui le conduit à se détourner de l’intérêt général.” Et d’augmenter qu’en mieux de cet rival, “nous avons aussi un ennemi. Et je le dis très clairement : cet ennemi, c’est l’extrême droite et le Rassemblement national (RN).”
“L’extrême droite restera toujours notre ennemi”
La mine de mémoire de la bâbord évoque deux inquiétudes sur “les déclarations pour le moins floues de ce que ferait M. Jean Dionis du Séjour s’il devait choisir avec qui ou contre qui faire barrage [au second tour]. J’aimerais que le maire sortant soit aussi clair que nous sur son attitude et ses intentions réelles vis-à-vis de l’extrême droite.” et d’persister : “Oui, l’extrême droite, et notamment le Rassemblement national, dans tout ce qu’il porte de rejet de l’autre, d’atteinte aux libertés et de repli identitaire, restera toujours notre ennemi, localement et nationalement.
Laurent Bruneau entend vouloir atteindre, et pourquoi pas dès le 15 mars prochain, “le livraison d’arrivage [de sa destination, ndlr], une localité transformée : mieux charmante, mieux vivante, mieux sûre, une localité qui ressemblera à celles et iceux qui la font nourriture. Ensemble, les gens allons y commencer. Ensemble, les gens allons réformer d’air. Ensemble, cap pour l’possible. Vivement l’possible !”

Comments are closed.