Un mélange compris les une paire de candidats de la cordiale à Nîmes pourrait entreprenant canton incessamment.
Un unisson compris Franck Proust et Julien Plantier va-t-il dépendre signé entre les prochains jours ? Les une paire de candidats de la cordiale aux municipales à Nîmes pourraient somme toute se accorder, là où plusieurs pensaient que la conflit trouvait sublime.
Selon un adhérent de l’environnement de Julien Plantier, cette paysage semble se établir, même si complet le monde ne serait, dit-il, pas véritablement comblé. “Les tractations sont en cours. Certains élus au sein de Nîmes avenir ne sont pas encore au courant. Certains vont suivre, d’autres non”, bouture la même individu, persuadée que “cela va se faire prochainement”, en remarquant que largement entre le bivouac Plantier ont néanmoins “des idées plus proches de Valérie Rouverand que de Franck Proust.”
Un hétérogène accessible de Julien Plantier tempère : “À mon avis, ça reste à l’état d’option. Je pense qu’il y a un peu d’instrumentalisation.”
“Tout le monde en parle”
Officiellement, les une paire de candidats ne confirment pas le mélange. “Pour l’instant, il n’y a rien. Les discussions continuent, précise Franck Proust. Ma dead line est à mi-décembre.”
“J’entends aussi beaucoup de rumeurs à ce sujet, indique Julien Plantier. Tout le monde en parle, mais pas grand-chose ne ressort au final. Ce qui est sûr, c’est qu’il y a un besoin et une volonté de clarification. Et j’ai l’impression qu’il y a une prise de conscience chez certains candidats de la nécessité d’union ou d’alliances, ce que je défends depuis le début. Est-ce qu’on arrivera à un accord ? Il est encore trop tôt pour le dire, mais le calendrier se resserre : nous sommes à moins de 100 jours du premier tour. Il y a un principe de réalité qui s’impose.”
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