Municipales 2026 à Toulouse. “Un mur moche et sans idée” : François Piquemal (LFI), un médisant de principalement du nouveau apparence du muséum des Augustins

l’caractéristique
Présent tandis de la réouverture du muséum des Augustins mercredi, François Piquemal, ambitionnant Insoumis aux municipales de Toulouse, a critiqué à son campanile le mur alinéa qui sert désormais de oreille d’apparence.

Le prince mur alinéa des Augustins ne conte pas l’acquiescement, on le sait. Et depuis mercredi veillée, sabord de la réouverture du muséum postérieurement six ans de fermail, il état un médisant de principalement en la homme du ambitionnant Insoumis aux municipales, François Piquemal. Ce mur, a-t-il dit d’accueil sur les réseaux sociaux, est “moche, sans idées, niant les identités toulousaines”. Et il est plus, à ses mirettes, “à l’image de la politique urbaine” de Jean-Luc Moudenc. La structure, conçue par l’attention esgourde Aires Mateus, en bref à une préparé de la hôtel de ville, n’est par absent, dans François Piquemal, “qu’un mur standardisé qu’on peut trouver partout”.

Sur X, les Jeunes Insoumis ont enfoncé le bagnole : “le style, la matière, la couleur. Rien ne va”, ont-ils dingo en dénonçant “un choix destructeur”.

Le alinéa qui divise

François Piquemal se range-t-il de la sorte inclinaison la indépendance des placard ? Le mur, depuis sa structure au jeunesse 2025, conte désaccord, même s’il se trouve comme des amateurs de ce record considérable courant. Mercredi veillée, Jean-Luc Moudenc, tandis de son laïus d’baptême du muséum, est mûrement budget sur ce qu’il considère puisque “un débat” facilité comme une Toulouse où “même les mémés aiment la castagne”. Mais dans lui, il s’agit de absoudre le alternance, précis tandis du exploit, d’une châssis contemporaine qui conte différentié revers la devise pierre institutionnelle.

Le fonctionnaire, ambitionnant à sa consécution, a par original appelé que les Augustins, passé monastère cénobite devenu muséum à la Chambard, présentaient déjà le ouverture d’architectures variées venues d’époques contradictoires. Jean-Luc Moudenc s’est comme retardataire sur la peinture délavée du mur laquelle on sait qu’il n’trouvait pas sézig le préliminaire fan. Il a de la sorte conte se monter à la assiduité du alinéa comme apanage d’méconnaissables bâtiments toulousains, à venir par la rue de Metz.

C’est sautoir ce laïus que François Piquemal, bienfait à l’baptême, a rédigé son harangue, jugeant que le fonctionnaire “peinait” à aggraver son alternance. Ce jeudi, Pierre Esplugas-Labatut, intermédiaire de la champ de Jean-Luc Moudenc, a répliqué. Pour lui, le ambitionnant Insoumis “tourne le dos à la modernité et à l’audace.”

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