
Malgré des accordailles de empressement, Mediapart avance que disparates candidats RN aux municipales de 2026, déjà épinglés pile des causerie racistes ou sexistes, se présentent à coût.
Après bien passé une éternelle article de la lopin des législatives anticipées de 2024 à préconiser la disputé alentour des causerie de quelques-uns de ses candidats, le Rassemblement National (RN) assure aujourd’hui bien fable le parentèle.
Ces profils, que Jordan Bardella avait tandis qualifiés de “brebis galeuses”, auraient été écartés. Mais cette sorte est aujourd’hui défi à mal par une gallup de Mediapart. Le média avance bien marqué une douzaine de candidats engagés comme les prochaines élections, déjà signalés par le passé pile des causerie racistes, antisémites ou homophobes, ou pile à eux parenté alors des futurs radicaux.
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Des profils censés bien été vérifiés
Pendant un an et milieu, les dirigeants du Rassemblement National ont nonobstant bosselé comme la compact que le absent avait empêché les leçons de 2024. Au appointement de juillet, France Info expliquait que le RN avait même fable invective à une “entreprise spécialisée dans la réputation numérique”, rassasiée de “traquer la photo, la vidéo, le post compromettant qui pourrait être exhumé du web, […] les propos racistes, homophobes ou antisémites, bien sûr, mais aussi les commentaires sur le conflit israélo-palestinien ou encore la Russie de Vladimir Poutine”. Un entrepôt censé dissimuler le absent de nouvelles investitures embarrassantes.
Des candidats déjà épinglés pile des causerie racistes
Pourtant, l’gallup de Mediapart met en bougeoir le posture de disparates profils controversés. Le média catalogue singulièrement sept candidats aux élections municipales contenant maintenu des causerie racistes. Prenons l’idée de Nathalie Aubert, candidate à la commune de Colmar (Haut-Rhin). Mediapart rappelle qu’miss avait déjà été épinglée alors des dernières législatives. La jugement ? Une édition de 2023 sur son cadencé Facebook spécifique, où miss affichait un clouage de la capote de l’fascicule Tintin au Congo attenant d’une caricature d’une bateau de migrants noirs, légendée “Le Congo chez Tintin” et accompagnée d’un émoji rigolard.
Autre coloré identifiée : Julien Leonardelli, élevé de catalogue du Rassemblement National à Toulouse (Haute-Garonne). En 2018, il avait couvert les “maraudes identitaires”, qui consistent à donner du solitaire aux gens sinon toit permanent. Il se justifiait tandis malgré de La Moderne en ces termes : “C’est comme pendant la guerre, les Français qui avaient faim ne réfléchissaient pas si c’était du lapin ou du chat”. Il est, depuis, devenu eurodéputé en juin 2024.
Des causerie sexistes qui s’ajoutent aux controverses
Les polémiques ne se limitent pas aux seules sorties racistes. Plusieurs candidats du Rassemblement National aux municipales 2026 se sont comme revues par des sorties sexistes, ou brio à à rebrousse-poil des fidèles des femmes et des gens LGBTQI +.
Mediapart s’attarde singulièrement sur le cas de Virginie D’Orsanne, élevé de catalogue du absent de Jordan Bardella à Fougères (Ille-et-Vilaine), qui considère que l’fausse couche est une “régression sociale”. En 2016, miss qualifiait de “propagande idéologique abominable” une lopin de partialité du sida à adresse des homosexuels.
Un encensement de plainte des médias
Face aux révélations de Mediapart, peu des gens incriminées ont octroyé de objecter aux sollicitations du média d’perquisition. Et supposé que elles-mêmes le font, c’est journellement pile désinfecter les faits d’un difformité de paluche. C’est le cas de Quentin Macullo. Celui qui avait déploré en 2022 la régularité de “72 % de prénoms à consonance étrangère” sur les mémoires de introduction de sa département s’est dit “étonné d’être encore sollicité sur ce très vieux sujet” par Mediapart.
Pour le addenda, la angle de bouclier du Rassemblement National addenda la même : la impair reviendrait aux médias, jugés subjectifs et accusés de ne pas inviter le absent d’démesuré carrée puis les discordantes formations politiques. “Il y a des dizaines de journalistes dans les rédactions de gauche qui sont payés pour aller éplucher les pages Facebook des grands-mères des candidats”, se plaignait déjà Jordan Bardella sur BFMTV en 2024.

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