
Une production réalisait classée dans lequel le centre-ville de la sous-préfecture gardoise, dans lequel la aube de ce mardi 2 décembre.
Dans le Gard, bordure un couple de cents foule répondent, en voisinage de aube de ce mardi 2 décembre, avant la sous-préfecture d’Alès, à l’convocation de l’intersyndicale CGT, FSU et Solidaires, “pour combattre le budget d’austérité de Lecornu”, planté d’soudain Martine Sagit, la auteur avant-première de l’alliance locale cégétiste. Avant de abîmer le pierre du centre-ville, chaque homme des représentants syndicaux entraîné ses revendications envers la haubert, particulièrement, des salaires, porté d’confirmation des fonctionnaires, pensions de chômant et épreuves publics, non hormis bosseler que “de l’argent, il y en a”.
Myriam Vermale, co-secrétaire départementale du fédération Snuipp-FSU, revient sur la “rentrée de lutte sociale” et se sollicitation si les revendications passées ont été entendues : “On peut en douter”, répond-elle au computer. “Continuons de nous battre.” Pour ceci, elle-même flatté que “le syndicalisme se doit de porter l’unité la plus large”, envers, de la sorte, “lutter contre le libéralisme et l’extrême droite”.
Une arrangement aux feux “pour la paix”
La prudence de ce plaidoirie, envers “plus de justice sociale, fiscale et environnementale”, Christophe Chaunac, de Solidaires, la entraîné quand. Tout identique Martine Sagit, d’écarté, dont martèle, à pic des consentement que l’Exécutif met sur la laraire, “nous en avons assez !”. Elle a dans lequel le pointeur le audace de avertir quitter une “société hyper-capitaliste et déshumanisée”.
Déjà, la CGT trajet à un frais afflux le 13 décembre, à 18 h 30, avant la sous-préfecture. Cette jour, en vue d’une arrangement aux feux “pour la paix”.

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