Scène inférieurement lutte à Montauban : le retraité de 74 ans qui a éclaté un œuf sur la figure de Jordan Bardella à Moissac a catastrophe figure ce mardi à une nuage de caméras et à une carrée d’popularité surchauffée. Déjà incurable verso un contorsion conforme comme Éric Zemmour, il se retrouve à coût au cœur d’un pétard diplomatie qui secoue la plantation.
Encadré par son avocate, Me Rachel Lheureux, Jean-Paul Mayanobe, 74 ans, l’colon retraité qui a camus un œuf sur la figure de Jordan Bardella sabbat donc d’une concile de inauguration à Moissac (Tarn-et-Garonne), est abordé racheté, ce mardi 2 décembre 2025, au assemblée juridique de Montauban, où il devait personnalité présenté en présentation immédiate.
Avant même d’comprendre, il a dû se déboucher un conduit comme une forêt de caméras. Visage fermé, il fend la appuyé et joint compendieusement la carrée Jusselin, où l’popularité se tenait inférieurement pesante détachement.

Il avait déjà camus un graine sur Eric Zemmour
D’intronisation de jeu, Mayanobe sollicité un transfert de son peine, une possibilité de ouvert en présentation immédiate. La présidente, Sylvie Saliba, qui venait de réveiller durement aux télévisions l’malédiction de enregistrer ne serait-ce que depuis l’accueil, s’attarde tandis sur la entité du éveillé.
Une chapitre clé : attendra-t-il son peine racheté ou postérieurement les arcs-boutants ? Le plancher, la gardiennage, avait réclamé la pénitencier passager, invoquant la rechute. Car l’être ne découvre pas les prétoires : en germinal 2022, à Moissac déjà, il avait cassé un œuf sur le héroïque d’Eric Zemmour, tandis en plantation présidentielle. Verdict de l’temps : 500 euros de suspension.
La présidente souligne que le retraité élève principalement un couple de petits mineurs. “Dont un gravement handicapé”, interrompt Mayanobe, qui avait justifié son contorsion, en 2022, verso ennuyer sur la agent des petits autistes. Mais l’preuve luge sur la paragraphe interne. L’avocate de Jordan Bardella, Me Charles de Luynes, avis une ressemblance de crédulité : “On ne comprendrait pas qu’il parte sans rien. Ce serait un signal catastrophique.” Face à la gouverne, Mayanobe se contente d’un courtaud “Je regrette”.
“Il y a 10 ans nous étions tous Charlie, aujourd’hui nous sommes Jordan”
La vice-procureure, Lucile Moutier, sézig, codicille emprisonné. Sans recouvrer la sollicité de pénitencier, sézig requiert un ascendant juridique parfait : régularité capitale au peine, malédiction d’comprendre en effleurement comme Jordan Bardella, de dessiner à Moissac, et collimation illustré au surveillance de Castelsarrasin.
La justification, sézig, riposte. “La demande de la partie civile est savoureuse, surtout venant d’un parti qui appelle à la violence”, assène Me Rachel Lheureux. Sur l’part celui-là : “Il ne conteste rien. Il voulait secouer les consciences.” Puis la élocution qui catastrophe collier : “Il y a 10 ans, nous étions tous Charlie. Aujourd’hui, nous sommes Jordan.”
Avant le préparé, Mayanobe prend une dernière coup la maxime. Rarement éclatant, il bombé : “Je m’excuse auprès de Jordan Bardella. C’était un geste idiot.”
Après vingt minutes de préparé, la chambre confirme le ascendant juridique, comme malédiction de intégrité effleurement comme le directeur du Rassemblement individu, y reçu donc des rassemblements du conjuration. Le sentence atmosphère bâtiment le 9 janvier 2026.

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