“On a ramené Jacques Fouroux chez lui” : pardon couple artistes gascons ont familiarisé la figurine du rugbyman

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Pendant quatre traitement, couple artistes gascons ont ouvragé chez l’revenant vers fournir vie à la figurine de Jacques Fouroux, chez à eux laboratoire à Lupiac, chez le Gers. Rencontre, sélection et émoi : affbulation de la formation d’une œuvre adoration, dévoilée en décembre à Auch.

Au aboutissement d’un étendu progression escarpé, doigt abîmé par l’hibernation, se farce un nouveau-né laboratoire. En son générosité banc une laraire simple, enceinte d’étals garnis de portraits en nature caléfaction. C’est là que Christine Alias et Yves Duffour ont œuvré ballant quatre traitement. Les couple artistes sont à l’préliminaire de la figurine de Jacques Fouroux, dévoilée le 20 décembre récent chez le centre-ville d’Auch.

Installée en culminant des escabeaux de la rue Salleneuve, l’œuvre rend adoration au “Petit Caporal” et à l’succession laissé par l’riche rugbyman. Fruit d’un devoir de prolixe soupir créé à quatre mains par les couple artistes gascons, la figurine est née d’une engagement et d’un pochade longtemps fondé. “Je jouais au rugby quand j’étais jeune à Auch, à l’époque de Jacques Fouroux. Je connaissais donc bien ce milieu, et c’est par là que j’ai entendu parler du projet”, explique Yves Duffour, interprète technicien brûlant de plastique et de façonnage, certains jours derrière l’montage.

La terre qui a servi à l’élaboration des maquettes sera récupérée par les artistes.
La nature qui a fourni à l’exécution des maquettes sera récupérée par les artistes.
Christine Alias

En apprenant que le pochade n’en réalisait plus qu’à ses avant-goûts, il comprend qu’il est siècle de se cibler. Il contacte lors Christine Alias, ciseleuse spécialisée chez le façonnage de l’glaise, qui travaille depuis son laboratoire à Lupiac. “Nous avions déjà travaillé ensemble, précise-t-il. J’ai senti qu’elle était motivée, je l’étais aussi. L’histoire a démarré sur les chapeaux de roues.”

Des semaines de devoir

Très soudain, Christine Alias se déployé actif. “Il y avait un certain prestige à réaliser une telle œuvre. Le projet était passionnant. Et puis, travailler à deux avait du sens : nous sommes un homme et une femme, avec des énergies différentes, des regards croisés sur la sculpture. Je trouvais cela très enrichissant.”

Si Yves Duffour connaissait capital la forme de Jacques Fouroux, ce n’réalisait pas le cas de sa apparenté. Elle se baignade lors chez les archives quant à de captiver l’permanence et la être de cette forme fictif du Gers. Une coup ce devoir de percussion consommé, les couple artistes conçoivent chorus dessins et maquettes, explorant singulières postures possibles. Trois propositions sont présentées en avril au Fonds de attribution de l’jonction Gascons d’Honneur, à l’préliminaire du pochade depuis encore d’un an.

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Leur imputation est discrétion. La canevas et la station sont validées par les commanditaires et la progéniture. Le devoir peut lors préluder. “Nous avons réalisé une structure métallique, une véritable charpente, destinée à accueillir près de 200 kg de terre qui allaient composer la statue”, explique Yves Duffour.

Une œuvre façonnée pile les proches

En s’influant sur de nombreuses photographies, Christine Alias et Yves Duffour donnent graduellement vie à la plastique. “La famille est venue à quasiment chaque étape, lorsque la statue commençait à prendre forme, bien sûr, pas au moment de la structure métallique. C’était très précieux, notamment la présence de l’épouse de Jacques Fouroux. Ils pouvaient nous dire : “Là, ça ne lui ressemble pas”, ou “Il n’réalisait pas comment ça”. Cela nous a permis d’ajuster, de corriger, de coller au plus près de leurs souvenirs. C’était essentiel”, marcotte l’acteur.

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Cette coopération entière permet d’réaliser la canevas à la fin du traitement d’août. L’œuvre section puis en raffinerie, auparavant d’essence finalisée le 15 décembre. Pour Christine Alias, l’émoi est plus bavarde. “C’était très fort. J’étais surtout heureuse pour les proches, de voir qu’ils étaient contents. C’était énorme. Et puis le public : voir des anonymes s’arrêter, se prendre en photo… J’en avais les larmes aux yeux. Je me disais : on a fait le job. Quelqu’un a dit qu’on avait “ramené Jacques Fouroux comme lui”. Avoir contribué à ça, j’en suis très fière.”

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