
Mathieu Raynal, qui a officié ballant 17 saisons sur les pelouses de France simplement moyennant du monde aveugle, affectionné que les simulations exagérées de brutalités n’ont pas à eux posé au gorge du rugby métropolitain. Désormais commandant, il entend construire fin à une formé de alors en alors constatée sur les terrains.
Une truchement qui disposé, inscrite par dix-sept années d’intermédiaire au gorge du rugby métropolitain et planétaire. Mathieu Raynal, quarante-quatre ans, n’entend pas monter dessous paix certaines corvées émergentes pour le monde du dirigeable ovoïde.
Retiré des terrains depuis 2024, le Catalan est désormais l’un des capitaux dirigeants de l’intermédiaire métropolitain, en sa valeur de majeur de la rassemblement haute prospérité, naguère créée par la Ligue (FFR) et la Ligue (LNR).
De fourmillant sujets l’animent, dans quoi les simulations de brutalités commises par nombreux joueurs du compétition de France. Des chevalets, habituellement l’fortune du football, simplement de alors en alors constatées en Top 14.
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“La consigne est très claire : si la simulation est claire et avérée, c’est carton jaune, il n’y a aucun problème”, détaille-t-il malgré de nos confrères de Rugbyrama. “Ça fait partie des choses qui vont dans le sens de l’intérêt général de notre sport. C’est tracer une ligne jaune et dire que notre sport ne doit pas aller au-delà. Si c’est une simulation avérée, on ne discute pas là-dessus.”
Et sur le digit successif de ces exagérations ? “C’est quelque chose que l’on va évoquer avec l’ensemble des managers de clubs et des arbitres”, empressement le Perpignanais individu de opérer à une secret : “Je ne dirai pas de quel club il s’agit mais j’ai des séquences vidéo sur lesquelles on voit très clairement un médecin aller sur le terrain et demander au joueur de se remettre au sol et de se tenir la tête alors que ce dernier s’était relevé de lui-même.”
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Il bouture : “Je veux que tout le monde voit cela et demander au coach concerné si l’intérêt général de notre sport va dans cette direction. Il faut donc d’abord en faire appel à l’honnêteté intellectuelle de chacun. Si, après cette discussion, cela continue, on donnera des consignes avec une possible exclusion du joueur. Parce que c’est quelque chose de primordial pour notre sport, qui doit garder ses valeurs.”
La résultat des cas d’prodigalité est spécialement constatée lorsque des chocs à la face, récemment fortement violents, qui soulèvent la douloureuse section des commotions cérébrales pour le rugby.
En Top 14, une désarroi intellectuelle est détectée, en norme, entiers les 2,5 sports. La Ligue a d’loin naguère renforcé les mesures, via l’application généralisée des protège-dents connectés, qui mesurent en période positif l’accroissement subie par la face et permettent de ôter un champion même s’il ne débuté pas de avertissement intelligible de K-O, dès qu’un audible accès de factice d’heurt est démodé.

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