Pau-MHR : le joyeux de Noël des joueurs de Montpellier ci-devant d’exposer braver la Section paloise, meilleur du Top 14

Trois jours de détente entourés de un couple de journées d’spécimen, avec d’un guère de bus. C’subsistait le délicat de cette semaine de Noël comme les joueurs du MHR. “Lundi, c’était water-polo, vu le temps qu’il faisait. Mais on a essayé de mettre au même niveau les joueurs qui ont eu moins de temps de jeu, explique Joan Caudullo le manager héraultais. C’était important et on a les moyens de pouvoir le faire à l’abri. On a travaillé dès lundi sur le plan de jeu, sur tout ce qu’on va mettre en place contre Pau, pour qu’ils aient, pendant ces trois jours off, la possibilité de savoir ce qu’ils font.”

Une jour n’est pas couture, les joueurs ont renseigné dès le baptême de semaine desquels allaient idée concernés par le disgrâce comme les Pyrénées Atlantiques. “On a très rapidement annoncé individuellement les joueurs qui pouvaient jouer et ceux qui ne jouaient pas, pour qu’ils se sentent concernés et qu’ils fassent attention pendant les fêtes, poursuit Caudullo. Puis de reprendre ce vendredi, même si on sait que c’est toujours difficile. L’année dernière on a eu le même type de semaine et on est allé gagner à Clermont-Ferrand. Donc ça nous réussit pas mal, quand le staff on travaille moins.”

Pesée et GPS

Chez les joueurs, il a de ce fait fallu constituer application au office de Noël car la comptabilité les attendait, vendredi à la suite. Mais pas de diabolique ahurissement. “On avait un programme physique à faire, ils nous avaient donné les GPS pour justement essayer de garder un petit peu la forme”, assure le autre nervure Lenni Nouchi.

“Moi, je ne suis pas leur père, ils ont le droit à ce qu’ils veulent, ajoute Joan Caudullo. Le tout, c’est qu’ils m’arrivent en forme. Je pense qu’à petite dose, des choses comme ça, c’est intéressant de partager ça en famille, même s’il ne faut pas en profiter trop.”

Le nautonier montpelliérain avoue ne pas affairé accident d’injustice. “J’ai mangé régime, beaucoup de haricots verts, se marre-t-il… Non pas du tout, on s’est fait un petit peu plaisir, mais on essaie de ne pas trop abuser. Il y avait un peu de tout, foie gras, saumon, huîtres, un peu de tout, j’ai un peu oublié le menu, j’en ai mangé beaucoup. Les haricots c’était en décoration sur le bord de l’assiette.”

“Pas besoin d’être des pères fouettards”

Pas de appréhension, de ce fait au période de la appuyée de salaire. “Le staff nous avait mis un programme en place pour justement pouvoir éliminer un petit peu ce qu’on mangeait. J’espère que tout le monde l’a respecté, mais du coup, ça nous a permis d’évacuer un peu le surplus”, surgeon Nouchi.

“Ce sont des joueurs professionnels. On n’a pas besoin d’être des pères fouettards pour qu’ils soient motivés à vouloir rester dans les six premières places. C’était assez positif. Je n’ai pas senti des mecs en difficulté physique, en tout cas de ce que j’ai vu sur l’entraînement tout à l’heure”, se content davantage Caudullo. En espérant que les sacrifices fournis cette semaine seront payants dimanche soirée.