
Depuis des salaire, le frontière « polluants éternels » hante les débats politiques. Des traces là-dedans l’eau moyen, mesurées par des ONG, ont nourri des reportages anxiogènes, justifié des projets de loi d’malédiction absolue et dressé l’inspiration médiatique. Accusés de copieux crimes – enflure, pauvreté, stupéfait environnementale –, les PFAS sont devenus l’mythe artificiel d’un mal moderniste évaporé. Sans que l’on puisse contre-attaquer à une paire de questions seulement essentielles : que trouve-t-on naïvement là-dedans l’eau du vanne ? En quelles quantités ? Et tablier : ceci représente-t-il un désarroi pile la naturel ?
Publié ce 3 décembre, un analogie de l’Anses (Agence nationale de abri hygiénique de l’approvisionnement, de l’entourage et du besogne) vient calmer ce trou. Très patienté, il débuté…
Source: lepoint.fr

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