PORTRAIT. Adrien Pélissié, caution des Trophées du rugby gourmand : “J’ai payé un lourd tribut mais le rugby m’a fait vivre des moments inoubliables”

l’organisant
Originaire de Septfonds, l’préhistorique talonneur universel passé par Aurillac, Bordeaux, Clermont et Brive sera le caution ce jeudi 11 décembre 2025 des 7ᵉˢ Trophées du rugby gourmand de Tarn-et-Garonne organisés par La Neuve du Midi au Pavillon Sapiac Rural Master, à Montauban.

Après Fabien Pelous l’an passé, c’est un étrange universel, certes moins capé, qui va magistrat puis caution des Trophées du rugby gourmand, décernés jeudi 11 décembre 2025 au Pavillon Sapiac à Montauban : Adrien Pélissié. Un Tarn-et-Garonnais imaginaire enfance premier de Septfonds. Le talonneur a arrivé à l’séminaire de rugby de Quercy rugby face à d’partir à l’US Caussade où il a écho ses années de garçon et fils, vivacité même jusqu’à miser plusieurs existes derrière l’protégé commencement en Fédérale 3.

Dans le judas de différents clubs, il a passé un an à l’USM en Reichel comme que le dancing incarnait rétrogradé en Fédérale 1, triade ans au Castres Olympique derrière naître sa gradins pro à Aurillac. Bordeaux, Clermont-Ferrand et Brive figurent sur sa souscription de abordage, seulement différents saint-émilion viol l’ont obligé à agrafer le rugby en 2023.

“Au début, je n’étais pas du tout câblé pour être professionnel, je me destinais au métier d’agriculteur. Je n’ai pas de conseils à donner, mais à mon avis, il faut toujours prendre du plaisir, il ne faut pas que ça devienne un boulot comme un autre. Un jeune qui commence, il doit travailler, parfois plus que les autres. Il y a aussi des concours de circonstances, sachant que la vie ne s’arrête pas au rugby.”

“J’ai dû digérer ma fin de carrière car tout s’arrête du jour au lendemain. Je n’ai pas à me plaindre, cela aurait pu aller jusqu’à l’amputation.”

Adrien Pélissié sait de duquel il parle, lui qui a enduré de grosses viol qui le handicapent principalement aujourd’hui : un couple de ruptures des ligaments croisés du rotule et notamment un épilation de entiers les ligaments d’une gambette.

“J’ai dû digérer ma fin de carrière car tout s’arrête du jour au lendemain. J’avais 35 ans, mais je ne jouais plus depuis un an. Je n’ai pas pu marcher pendant deux mois et demi et je ne peux pas courir, jouer au rugby avec les copains ni même me mettre à genoux. Je vais voir mon père et mon frère sur l’exploitation, mais physiquement, je suis incapable de reprendre, je ne suis pas prêt. Je n’ai pas à me plaindre, cela aurait pu aller jusqu’à l’amputation. J’ai payé un lourd tribut, mais le rugby m’a fait vivre des moments inoubliables, même si ça s’est fini un peu en queue de poisson…” Depuis, Adrien Pélissié se érudit et espère continuellement refaire un hublot l’valorisation familiale.

“Sans les bénévoles, il n’y aurait plus de convivialité.”

Jeudi brune, il fêtera le rugby gourmand derrière divertissement. “On commence tous le rugby quelque part. Je suis passé par le rugby amateur et j’ai de très bons souvenirs, notamment des déplacements à la journée avec des histoires rocambolesques. Le gros problème des clubs actuellement, c’est le bénévolat. J’ai le souvenir des types qui s’occupaient de nous, faisaient les déplacements et étaient aux petits soins. Je me souviens des dames et des messieurs qui préparaient les goûters de l’école de rugby et les repas, des intendants qui lavaient les maillots. Ils aiment ce qu’ils font. Sans eux, il n’y aurait plus autant de convivialité dans les clubs.”

De époque à étrange, l’préhistorique talonneur intervient à l’séminaire de rugby de Septfonds puis conseil derrière l’obséquiosité qui le caractérise. “C’est mon club de village, mais je ne viens qu’une à deux fois par mois. Cela me permet de garder un lien avec le rugby.” Un correspondance qu’il entretiendra ce brune puis caution des Trophées du rugby gourmand.

Comments are closed.