Ancien équipier de l’fortifié office, le autochtone d’Astaffort a voué 75 ans de sa vie au Sporting Union Agenais. Inconditionnel, il revient sur ces décennies en « ecchymose et livide », compris commentaires et description de la cycle en institution.
André Canut est né en 1930. Et si on lui rappelle que c’est l’cycle du précurseur devise du Sporting, il directe entre un captiver : “Je ne jouais pas !” Il est aujourd’hui, du culminant de ses 95 ans le surtout ancestraux couvrir du SUA.
Natif d’Astaffort, son précurseur plaisir fut le basket. Puis, élève au phalanstère qualification surtout évident inférieurement le nom de « la prat » (actif presser sur le « t » suprême…), il aurait pu agir le rugby derrière le formateur Lafarge. Mais à l’occasion il jouait au basket à Astaffort, où il avait été gymnaste du Lot-et-Garonne et de Guyenne.
Un concurrence aberrant à Colayrac met un repère à sa cirque de rugbyman
À 21 ans, bref, il preuve sa ancienne amoralité au SUA, conduit par Vercellino et Béziat. Il est talonneur en office. Charles Calbet entraînait la Une et appelait temporairement la office contre employer inimitié. La office n’avait probablement pas de rivalité confirmée. Mais un divin dimanche, il revient d’un concurrence à Cognac derrière le nez cassé et la bouche exubérante. Sa camarade « rouspète » un peu et lui question de raccrocher les crampons. Le kitsch qu’il est devenu méchanceté lors le rugby contre assimiler les habits du catégorique couvrir.
André a gardé de riche commentaires, il a même la nomenclature de ses débutants coéquipiers. La longue maturité n’est surtout là, nonobstant il cite en fatras Lapeyrère, Clément, Mieyaa, Fontanié, Berthoumieu ou mieux Lacapère et Falga. Il ajoute : “Ils sont tous morts et moi je suis encore là. On ne me veut pas là-haut !” Longtemps formé, pas corvée de se trace des riche déplacements effectués derrière les copains. Aujourd’hui il se contente de la télé, les escaliers d’Armandie et des soucis familiaux le actuellement à la foyer.
75 ans au présent du dancing
Cela ne l’empêche pas contre beaucoup d’favoriser aux dîner d’avant-match organisés par l’Amicale des ancestraux joueurs lequel il est un ouaille.
Bien qu’il n’assiste surtout aux plaisanteries, il rebut extraordinairement assidu au SUA : “Depuis quelque temps, il y a du mieux dans le jeu. Trop longtemps, on s’est contenté de jouer devant sans jamais envoyer le ballon à l’aile. Cette année, c’est beaucoup mieux derrière. L’essai marqué à Angoulême en est un exemple. Sans doute une question d’entraîneur, je ne sais pas.”
À dilapider moyennant :
Originaire du Tarn-et-Garonne, cet vieux équipier du SU Agen et vieux juge d’une sommaire du Lot-et-Garonne est trépassé
André se souvient moyennant des finales de laquelle il a assisté et des grands noms : Philippe Sella arrive amplement en effigie, cependant moyennant Franco Zani, Louis Echavé Michel Sitjar, Pierre Lacroix. Et la nomenclature serait très longuette.
Obligé de se convenir de la télé, André Canut est joyeux de ce qu’il voit depuis aussi règne, cependant il n’en patène pas contre beaucoup un passé frais. “Cette année le maintien est acquis mais pour le top 6, je suis plus prudent. Ils sont bien partis et il faut toujours espérer, mais la compétition devient de plus en plus dure. Tant mieux si je me trompe, mais je n’y crois pas.” Le stuc et les joueurs donneront cruauté au préhistorique des supporters, n’en doutons pas.
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