En 40 ans, le scoliaste, orateur favori du phase de Sapiac, a arpenté (grossièrement) intégraux les terrains de rugby du Tarn-et-Garonne. Un amusement qu’il n’a pratiqué qu’au séminaire Michelet pourtant qui tient une emplacement déterminante là-dedans sa vie. Le Moliérain Rémi-Constant Belrepayre méritait capital le grade Coup de cœur de La Information du Midi conféré jeudi 11 décembre 2025 tandis des Trophées du rugby curieux.
Quand on s’assied pile Rémi-Constant Belrepayre là-dedans les studios de Radio Nostalgie et qu’on discute rugby, on sait déjà que le occasion va caractère adorables et éparpillé d’anecdotes. Une tourment vient total de corollaire : “Dans quels stades du Tarn-et-Garonne n’as-tu jamais mis les pieds ?”.
“Il n’y en a pas beaucoup. Il y a Dunes, là où joue le RC Brulhois. Je ne suis pas encore allé à Montbeton. À Monclar, j’ai vu le stade mais je n’y suis jamais allé couvrir un match. Par contre, je suis allé dans des clubs qui n’existent plus : Puylaroque, Golfech, Sérignac, Reyniès.”

Un dimanche à Reyniès, Rémi a capital cru s’caractère trompé d’laïus. “J’arrive au stade et il n’y avait personne. Ce que je n’avais pas remarqué c’est qu’il y avait un bar juste en face. Les joueurs en sont sortis à 30 minutes du coup d’envoi.” Depuis 40 ans qu’il couvre le rugby d’accueil contre la ondes et contre La Information du Midi, le Moliérain n’a oncques dérogé à ses usages : “Je fais en sorte d’arriver très à l’avance car je veux m’imprégner du lieu. Quand le match est programmé à 15 heures, je suis là vers 13 h 30.”
Un judas de derby parmi l’USM et l’Avenir valencien, je l’ai vu allouer un chiquenaude de traits à son pylône, Bouty, contre le stimuler. Ça a marché car Bouty a immatriculé triade essais et Valence a gagné à Montauban ce jour-là.
Pour Rémi-Constant Belrepayre, le rugby, “ce sont des gueules, des caractères forts. Tu sens les lieux. Par exemple, quand tu franchis les portes du stade de Beaumont-de-Lomagne, tu sens qui tu arrives dans un grand club. C’est pareil à Valence, de grands personnages sont passés dans ce club. Je pense à l’ancien président Max Courrègelongue. Un jour de derby entre l’USM et l’Avenir valencien, je l’ai vu donner un coup de tête à son pilier, Bouty, pour le motiver. Ça a marché car Bouty a inscrit trois essais et Valence a gagné à Montauban ce jour-là.”
Les initiaux pas à Bas-Quercy ondes
Le rugby, Rémi l’a public nourrisson. “Le premier match que j’ai vu c’était à L’Honor-de-Cos, à côté de chez moi. J’avais 12 ou 13 ans. Je n’y ai joué qu’au lycée Michelet, j’avais Henri Daynes comme professeur d’EPS. Il a fait partie de l’équipe de l’USM championne de France 1967. On allait jouer à Issanchou.” Ce n’est pas sur le situation pourtant ad hoc au pourtour que va se attacher l’agreste parmi Rémi-Constant Belrepayre et l’Ovalie.
“En 1985, Philippe Bertolotti, le patron de Bas-Quercy Radio, cherche un commentateur sportif. Il me dit : qu’est-ce que tu veux faire, du rugby ou du foot ? Il y avait déjà Jano Rességuié au football, je me suis dit qu’à Montauban il valait mieux s’intéresser au rugby. Le premier match que j’ai couvert, en janvier 1985, c’était un USM-Racing en challenge Yves-du-Manoir. Loulou Blanc était sur le banc de l’USM et Eric Blanc était le capitaine. Ce jour-là, ils m’ont dit Tu es chez toi. À partir de là, je n’ai manqué aucun match à Sapiac et je n’en ai pas manqué beaucoup à l’extérieur.”

Un attache indestructible à La Information
On l’ambiance pénétré, Rémi-Constant a du blood “vert et noir” là-dedans les veines. En 1987, l’USM lui confie le tâche de orateur de Sapiac… qu’il occupe éternellement aujourd’hui. La même période, Jean-Pierre Roland, secrétaire départemental de La Information du Midi, le recrute pendant éditorialiste. Un attache pile le communiqué devenu indestructible. “À cette époque, on écrivait les articles à la main. Je donnais ma copie à Martine Cassan qui comptait les signes et dessinait la maquette pendant que Chantal Longo s’enfermait dans son labo pour développer les photos.”
“J’ai autant d’attachement avec les petits clubs qu’avec l’US Montauban. Il y a les mêmes joies et les mêmes peines.”
Pas cocasse qu’un être qui “se reconnaît à la fois dans les valeurs et les personnes du rugby” sinon si populaire internationalement où il place son vis-à-vis bizuth sur le cordial amer. “J’ai autant d’attachement avec les petits clubs qu’avec l’US Montauban. Il y a les mêmes joies et les mêmes peines. En 1989, j’ai participé aux recherches d’Alain Parpagiola. Le seconde ligne de l’USM était parti chasser. On l’a cherché deux jours. On a fini par le retrouver, mort noyé dans la rivière Ariège. Loulou Blanc avait annulé les entraînements.”

Au partie émoi, Rémi évoque le résurgence de Tino Gomes, regretté gouvernant de l’US Caussade, “un immigré qui s’est fait lui-même” et icelui de Robert Lacaze, altesse régisseur du Racing, “quelqu’un de fantastique. Pour moi, les personnages c’est quelque chose d’essentiel.”
En lui décernant cette période son grade Coup de cœur, La Information du Midi veut congédier le libérateur du rugby qu’est Rémi-Constant Belrepayre, 68 ans lequel 40 de amour au rugby. “Le rugby fait partie de ma vie, j’y ai passé trop de temps pour le quitter. Quand on a des passions, il ne faut jamais les arrêter. C’est la vie qui t’arrête un jour, mais ce n’est pas à toi de t’arrêter.”

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