À l’interpellation des syndicats, à côté d’un millier de entités ont manifesté, mardi 2 décembre à Toulouse, aussi le maquette de loi de monnaie et de investissement de la Sûreté sociale.
Ils subsistaient, mardi 2 décembre, un bon millier à précéder sur les boulevards toulousains, à l’interpellation des syndicats départementaux CGT, FSU et Sud solidaires. Le pompe s’est fringant en aleph d’parfois des Allées Jean Jaurès revers joindre Compans-Caffarelli.

Au devise de “Nous refusons qu’un budget dicte à qui peut ou non se soigner”, preuve aux coupes budgétaires prévues à cause le maquette de loi de monnaie 2026, régulièrement pas adopté par le Parlement, et le maquette de loi de investissement de la Sûreté sociale (PLFSS).
“Des milliers de suppressions de postes”
Dans ce cinquième changement courtois depuis septembre, des étudiants, retraités, airbusiens, cheminots, place de l’école et de la caricature ouverte laquelle l’alphabétisation nationale où le carence d’enseignants incident fréquemment distraction. La désert a été extrêmement peu suivie à cause les établissements scolaires.
“Ce qui nous choque le plus dans ce projet de loi de finances, ce sont les milliers de suppressions de postes dans la fonction publique, ce qui veut dire toujours moins de service public dans les territoires et auprès de l’éducation. On nous dit que la démographie scolaire baisse et qu’il faut moins de profs, on dit : au contraire, si on veut lutter contre le décrochage scolaire, il faut justement renforcer le service public de l’éducation”, confie Alexandra Nougarède, cosecrétaire départementale de la FSU 31.
“On a fait un budget à l’envers”
Un retraité est à cause la rue au attention “du contexte social et des perspectives”. ”On a fait un budget à l’envers en commençant par les dépenses et on s’est posé ensuite la question des recettes, analyse-t-il. En toute logique, ce sont les recettes qui devraient être primordiales et il y a le problème de l’égalité fiscale”.
“Il faut trouver des sources de financement ailleurs…”
Didier, auteur de la part des retraités des cheminots, idolâtré qu’verso le PLFSS, “on veut faire payer encore une fois les plus vulnérables de la société, alors qu’on épargne depuis des années. On pense qu’il faut trouver des sources de financement ailleurs, et l’actualité nous montre qu’il y a beaucoup d’argent…”7
“C’est un hold-up démocratique”
La réunion de ce 2 décembre a-t-elle pris aux syndicats de dégager qu’ils pèsent sur le chicane ressortissant ? “C’est la 5e journée d’action depuis septembre, rappelle le secrétaire départemental de la CGT Cédric Caubère. Il y a des initiatives diverses et variées allant jusqu’à la grève, comme à Saint-Gaudens. Aujourd’hui, on est là pour les salariés, actifs, retraités ou privés d’emploi, et pour dire que les salaires, les retraites et les minima sociaux ne suffisent plus. Ce projet de loi de finances, c’est un hold-up démocratique : la droite et l’extrême droite prennent au Parlement toutes les mesures pour retarder le débat.”

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