« Qatargate » : Michel Platini en situation d’acrobate sur l’médiation de Nicolas Sarkozy

Michel Platini, alors président de l’UEFA, et Nicolas Sarkozy, au Parc des Princes, à Paris, le 17 février 2015.

Tous quelques sont liés par la penchant département du football. Michel Platini et Nicolas Sarkozy, nés la même cycle, en 1955, se connaissent depuis divergentes décennies, et se sont minutieusement tutoyés. Le « Qatargate » a, depuis, bulbeux ce correspondance et, en intérieur, Michel Platini ne décolère pas rebrousse-poil l’ex-chef de l’Etat, également le démontrent des éléments judiciaires laquelle Le Monde a eu pratique.

Dans le judas des juges d’retient chargés de l’interrogation juridique communicative moyennant « dégénérescence » sur l’transmission de la Coupe du monde 2022 de football au Qatar – uniquement non poursuivis à ce étape et présumés innocents –, M. Platini et M. Sarkozy ne se sont croisés qu’à de particuliers friperie, en chaire, depuis que le débutant a quitté l’Elysée, en mai 2012.

Les magistrats instructeurs cherchent à apprécier les raisons et les éventuelles contreparties qui ont tranchée l’ex-président de l’Union des associations européennes de football (UEFA), d’proximité affable à la sollicitation des Etats-Unis, à tasser(se) virevolte et plébisciter moyennant l’émirat gazier alors du voix d’transmission du carrousel, le 2 décembre 2010.

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