Choquée par les situation d’hospitalité des jeunes filles qu’elle-même entraîne, une instructrice interpelle la Coalition envers contraindre principalement d’équation.
Week-end postérieurement vacance, Stéphanie, joueuse de rugby et instructrice dans lequel un night-club de Haute-Vienne, est parrain des “conditions indignes” dans lequel auquel sont accueillies les jeunes filles qu’elle-même entraîne.
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Dans une lettrine béante adressée à la Coalition française, à la Ligue de Nouvelle-Aquitaine, au session départemental de la Haute-Vienne aussi qu’à l’assemblage des présidentes et présidents de clubs, elle-même a prévenu les situation dans lequel auquel les jeunes filles, âgées de moins de 14 ans, ont été reçues donc d’un soubassement : “reléguées dans une infirmerie de quelques mètres carrés, sans chaise, sans espace, et bien sûr, sans douche. À la fin des rencontres, trempées, couvertes de boue, elles ont dû patienter dehors que les garçons libèrent leurs vestiaires pour espérer se changer dignement et en espérant avoir de l’eau chaude.”
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Stéphanie dénonce une circonstance qui n’est “pas acceptable”, et qu’elle-même met en cire des déclarations d’destination des instances : “développer le rugby féminin, réaffirmer sa place, féminiser la pratique et encourager les vocations. Les dispositifs se multiplient, la communication s’intensifie, les campagnes de promotion fleurissent. Nous avons vécu une Coupe du monde féminine qui a mis en lumière la passion, le talent et l’avenir du rugby joué par les femmes avec un public de plus en plus enthousiaste. Pourtant, la réalité dans nos clubs dit parfois tout autre chose”, regrette-t-elle.
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L’instructrice dit ne “demander aucun traitement de faveur, mais un traitement équitable.” Excédée par les situation dans lequel auquel ont été acceuillies ses joueuses, elle-même rappelle une maxime : un penderie envers les garçons, un penderie envers les filles.
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