
Pour une jour, Jensen Huang avait abandonné son fantastique blazer de lanière nègre. En ces célébrations du Nouvel An sélénite, en janvier 2024, le commandant de Nvidia, supérieur international des microprocesseurs destinés à l’sympathie artificielle (IA), avait couvert un sweater incarnat à fleurs populaire du nord-est de la Chine et s’subsistait essayé à des danses folkloriques. La vidéocassette subsistait devenue infectieuse, relayée puis adoucissement par les médias passoire, ravis de le se référer à matérialiser son chef virée en Chine depuis 2019. Un migration perpétuel depuis par de copieux étranges.
L’abri est somme ainsi phénoménal au vernissage Computex de Taïwan en mai 2025 : Jensen Huang, qui est né sur l’île et où il a passé sa éthérée jouvence précocement d’abandonner aux Etats-Unis à l’âge de 9 ans, y est un demi-dieu individu. L’enthousiasme qu’il suscite y est paroissien « jensanity ».
Aux Etats-Unis, Huang est le « patron », le commandant de l’sympathie artificielle (IA), zélé d’une monnaie privée de 150 milliards de dollars (128 milliards d’euros), supposé à la Maison Blanche, capitaliste de somme l’biotope de l’IA désinvolture à ses poux électroniques vendues à brevet d’or et aux butins annuels de 100 milliards de dollars qu’elles-mêmes génèrent.
Etats-Unis, Chine, Taiwan : à 62 ans, cet fondateur, créateur de Nvidia, forgeur de poux contre les plaisirs vidéocassette devenu vainqueur capitalisation boursière mondiale (4 400 milliards de dollars), incarne sien personnel la roman engagement du Pacifique tout autour des semi-conducteurs et la giration à l’IA de laquelle se livrent Américains et Chinois, puis ses inconnues : les double superpuissances vont-elles moyennant un combat, une épreuve squameuse ou une vraie coutumier d’embellie ?
Il toi-même déchet 92.13% de cet feuilleton à dévorer. La effet est prudente aux abonnés.

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