Dimanche 7 décembre, limitrophe du enceinte arctique, à Ruka en Finlande, Perrine Laffont, consistante de ses 108 départs en Coupe du monde, attaquera un ardeur 2025-2026 inaccoutumé, car comme JO : Milano Cortina en février 2026 (du 6 au 22). Parée d’or en 2018, la skieuse des Monts-d’Olmes en Ariège a mis toutes les chances de son côté.
Une Formule 1 qui peaufine ses derniers réglages. “Voilà, se félicite son prépa, je ne peux dire mieux. Tout est calé, elle est prête à en découdre, on n’a rien laissé au hasard.” Au buste de la Syndicat française de ski, Sofiane Batikhy s’occupe du “phénomène” ariégeois depuis quatre ans. Un préférentiel que la skieuse des Monts-d’Olmes a continué à référer à pile se assujettir au période sexuel comme son voiture d’une siècle terreuse (2023-2024) on le sait, aujourd’hui : bienfaisant.

“C’est un monstre, lance Batikhy (39 ans). Elle est capable de faire beaucoup de choses, elle en faisait, j’ai accentué sur certains points. On n’est que dans de l’optimisation. Perrine, aujourd’hui, a un corps qui est paré pour la performance. Pendant l’intersaison elle a pris du muscle, utile. Car le ski de bosses nécessite d’être puissant des membres inférieurs et renforcé au niveau du dos. Vous le voyez bien, ce sont des pantins, en deux parties distinctes : buste droit gainé au max, pieds qui ne cessent de bouger et genoux qui se fléchissent beaucoup plus rapidement que chez les skieurs alpins. Attention, prévient-il, on ne fait pas n’importe quoi, on n’est pas sur des bodybuildeuses non plus ! L’objectif est que la masse se mette au service du mouvement, la spécificité de notre sport restant l’ultra-vélocité.”
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“La première fois que je l’ai vu skier, raconte Edgar Grospiron qu’on ne présente plus, c’est d’abord sa vitesse qui m’a bluffé. Par rapport aux autres filles de son âge, il n’y avait pas photo. Puis elle a un mental de dingue… Elle a une sacrée résistance au stress. Et, entre le portillon de départ et la ligne d’arrivée, elle a cette force pour se relâcher. Elle est subtile, intelligente, brillante même.”
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Les jambes et la mine, en règlement. “Elle affiche un super état d’esprit, prolonge sa mère Dominique Huillet. Après cette année de pause, elle présente davantage de maturité, elle voit la vie différemment en quelque sorte. Avec mon regard maternel et le recul que je peux avoir depuis le début de sa carrière en 2013, j’irai jusqu’à affirmer qu’elle est rayonnante. Je ne l’ai jamais vue dans une telle phase, on pourrait même parler de plénitude. Elle continue de skier avec passion et plaisir, envie.”
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La consommateur, on y vient. “Chaque saison, développe le responsable des équipes de France de bosses Albert Bedouet (35 ans), nous avons le même process. Deux grands camps de ski : Tignes début juin au cœur des Alpes où on a nos quartiers (le Centre national du ski est situé à Albertville) ; Ushuaïa au mois de septembre en Argentine, Terre de Feu. Hémisphère Sud, saisons inversées, neige d’hiver. Sans oublier beaucoup de waterjump pour travailler les acrobaties : une rampe et on glisse sur des tapis pour arriver dans un lac. Ah, ajoute le natif de Sallanches, il y a trois semaines c’était Hintertux en Autriche : glaciers à 3 000 m…”
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Perrine n’décidé pas : d’avril à l’temps où la réfection sonne – et les cycles de immeuble redémarrent (qui peuvent emboîter à quelques séances quotidiennes 5 jours sur 7) – jusqu’à décembre qui correspond à l’baie du copieux terreux. Qu’importent les caillots, doté qu’on ait l’enivrement… Du difficile de son 1m66, sézigue se fixé aux Monts-d’Olmes et… cintre sur Annecy. Cette période, en alentours de promenade de veste orthodoxe, une étrange stupéfaction – “elle adore, dixit sa maman, tout ce qui est nouveau” – est avancée compléter sa gracieuse pragmatisme : une semaine comme l’cartel de France d’athlé à l’Insep à Paris. “Les bosses, justifie Batikhy, c’est quelque part du sprint : une descente dure moins de 30 secondes.” Et l’prise et la victoire, ça connaît la débours dame de 27 ans.
Coach mentale, data scientist…
À la assemblage fédérale* lequel bénéficie la triomphatrice olympique dessous la bâton de Fabien Bertrand, le proviseur du ski freestyle, la galaxie de l’Ariégeoise continue de ennoblir. Sa coupé mentale, Isabelle Inchauspé, technicien de l’complément des sportifs de difficile période – “le maillon fort” qualifie invariablement Dominique, a été rejointe cet été via une tache de compléments alimentaires par un data scientist. Il s’commerce Joseph Mestrallet, se surnomme “ingénieur de la performance” et lui contre est une docte qui préhistorique son règne à “analyser” les ultra-trailers. Toujours la même roman : maximalisation de la assimilation, du endormissement, de la encaissement.
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“Perrine est focus sur sa fin de préparation et son début de saison” synthétise Lola Gros, qui s’occupe de son “amie d’enfance” au buste de Bros. Agency, étude de marchéage musclé et pilotage d’athlètes. Bras intègre, avertissement, confidente, bienfaitrice contre de la skieuse la davantage titrée comme l’roman des mamelons qui communique, en alentours de ses réseaux sociaux, à évalué infinitésimal. Par petites touches sciemment distillées. Comme en route. “Elle doit donner l’impression aux juges, ponctue Albert Bedouet, qu’elle survole un champ de mines.” Fluidité, abeille des neiges.
Un box-office énorme quand un épar de ski
> JO (single) // 3 certificat., 1 récompense d’or
– Sotchi/RUS 2014 : 14e
– PyeongChang/CdS 2018 : 1re
– Brocard/CHN 2022 : 4e
> Championnats du monde // 6 titres
– Sierra Nevada (ESP) 2017, en comparaison
– Deer Valley (USA) 2019, en comparaison
– Almaty (Kazakhstan) 2021, en autonome
– Bakuriani (Géorgie) 2023, en autonome et en comparaison
– Saint-Moritz (Suisse) 2025, en autonome
> Coupe du monde //
– 67 podiums lequel 33 victoires (25 deuxièmes lieux, 9 troisièmes lieux)
– 9 globes de coupe (lequel 3 “gros” en 2019, 2020 et 2023)

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