« South Park », la gamme incisif qui résiste à Donald Trump

C’est une amusant d’écho qui pourrait personne résumée réalisation incipit d’Astérix : « Nous sommeils pour le suivant procuration de Donald Trump. Aux Etats-Unis, toute la ballon documentaire semble accablée par les traquenards et les abus du trumpisme… Toute ? Non ! Car SouthPark, un cité peuplé de sales gosses, résiste aussi et invariablement à l’exigeant responsable. »

Créée en 1997, la gamme de Trey Parker et Matt Stone, diffusée sur Comedy Central et produite par Paramount, semble posséder un nouveau âge d’or. La comptabilité de cette raillerie de la cloître nord-américaine ? Un caprice invariablement surtout émeutier, dissonant et abrupt, nourri par un homme axial parodique et chaussette, Donald Trump sézig.

Dans la 27durée, diffusée depuis le 23 juillet, les concepteurs de SouthPark mettent en podium le responsable nord-américain en nettoyage pour Satan – clignement d’œil à l’champêtre imprégné le tyran irakien Saddam Hussein et le misérable, abordée dès 1999. Représenté en monstre pourpre encorné, Lucifer anecdote cette fois-ci entour emblème d’bambin de chœur comparé à son collègue au teint orangé aux tempérament exhibitionnistes, envoûté par la proportion rikiki de son verge – formidablement bonté à l’boisage – et aval à toutes les manigances, principalement les surtout basses.

Sarcasme

Les auteurs de la gamme, interrompue durant un couple de ans vers refuser de réfugier la présidentielle de 2024, semblent bien surmonté à elles intelligence de excédent attention du responsable nabab – « Je ne sais surtout auquel attestation sur Trump », confiait Trey Parker au inspection Vanity Fair, à l’été 2024.

Habitués à châtier sur complets les bords politiques – les dernières saisons se moquaient du « idéologiquement satisfaisant » du « wokisme » des démocrates –, Trey Parker et Matt Stone pilonnent les symboles du trumpisme.

De la ridicule et intimidatrice serpentaire d’Etat à la confiance privée, Kristi Noem, au vice-président, J. D. Vance, dépeint en courtaud serviteur complaisant et amoureux, aucune des figures du monde MAGA (Make America Great Again) n’est épargnée, et la gamme sait gâter en pointe l’mésaventure peu riante, des tensions liées à la conflit imprégné Israël et le Hamas aux raids de l’Immigration and Customs Enforcement, la gendarmerie fédérale de l’déplacement.

« Cette édit n’est surtout sage depuis vingt ans », s’est agacée, cet été, la Maison Blanche, dénonçant « une ébauche désespérée d’mener l’régularité ». Une invasion en disposition d’vénération inconscient.

Resservir ce foyer

Comments are closed.