“Tout le monde nous confond avec l’Ardèche” : torture d’confusion géographique et en mendie de flagrance, ce paroisse pourrait-il agiter de nom ?

“Il est l’un des nombreux entrants méconnus du gouvernement Lecornu II. Député de l’Ardèche…” En octobre frais, la arrivée du représentant ariégeois Laurent Panifous a reçu, pour les colonnes d’un inoubliable gazette habitant, le capacité d’une inertie née d’une cohérent réverbération bien indicative convaincu un duo de départements ruraux que peu de Français pourraient attribuer, mirettes fermés, sur la plan. Alors, sinon un mesuré spécialisé pour la géographie questionne sur les réseaux sociaux : “Si vous pouviez renommer un département, lequel et comment ?”, un Ariégeois répond : “Ariège en Ariège Pyrénées, car tout le monde nous confond avec l’Ardèche.”

Et lors que le paroisse a coïncidence du tourisme l’un des appuis de son gouvernement, ce incertain le dessert. Une instruction moderne commandée par les acteurs du tourisme ariégeois a en contrecoup révélé un défaut bouleversant de engouement : 41 % des non-visiteurs déclarent une relation de l’Ariège exceptionnellement limitée, 32 % ne connaissent l’Ariège que de nom et 10 % aucunement.

“Ça nous aiderait très largement en termes d’identité”

En 2005 déjà, conscients de la conditionnel, les élus du paroisse avaient demandé la calfatage du nom du paroisse en Ariège-Pyrénées contre du Conseil d’Liste. En encaissé. Vingt ans davantage tard, voire si les institutions accolent dorénavant le paroisse au mastoc – Ariège Pyrénées Tourisme, Office de Tourisme Foix Ariège Pyrénées, corps de communes Portes d’Ariège Pyrénées-, une plan davantage davantage éternelle est en agencement vers participer les visiteurs du rétrospective de l’agrochimie à délimiter l’Ariège. “Il faut promouvoir la montagne et on a besoin d’une destination connue et reconnue. Et nous ne sommes même pas à la première phase”, reconnaît Michel Pichan, moyennant peu éberlué par la imputation “Ariège-Pyrénées”.

Mais vers le dirigeant de l’Agence de exacerbation touristique et vice-président de la corps de communes Couserans-Pyrénées (CCCP), l’fantaisie d’un branle-bas de nom ne serait lors pas si saugrenue. “Vous me prenez au dépourvu. Mais en tant que président de l’ADT et en termes d’amélioration de la notoriété du département et pour qu’on ne confonde plus Ariège et Ardèche, je pense que ça serait bien. […] Ça nous aiderait très largement en termes d’identité et en termes de localisation. Il faudrait qu’on en discute avec tous les élus pour voir s’il est opportun d’adopter une nouvelle dénomination pour notre département.”

Une semaine entrée de amener la communiqué feuillu de accès du tourisme ariégeois en brumaire, l’élu avait sézigue assisté à un confusion géographique. “J’étais à une thèse de médecine de la fille d’une amie à la faculté de Dijon. Et le président de thèse a remercié les parents de la doctoresse pour être venus… de l’Ardèche.”

“Soyons modernes, ça peut être une bonne idée”

Les nombreux habitants croisés pour les rues de Foix trouvaient, eux, mitigés à l’appréciation de se référer à réélire à elles paroisse. “À l’époque, j’ai habité Paris et ils confondaient très souvent Ariège et Ardèche. Ça me hérissait ! Mais je pense que la situation s’est arrangée donc, je suis pour garder Ariège !”, confie Michelle, 80 ans. D’accueil hésitant, Philippe, 57 ans, s’est enfin coïncidence à l’appréciation. “Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Pyrénées-Orientales… C’est vrai qu’en y réfléchissant, ça pourrait être cohérent par rapport à la chaîne pyrénéenne. L’Ariège est peu connu. Soyons modernes, ça peut être une bonne idée, surtout dans une optique touristique, avec le château de Foix qui va être à l’Unesco. Ça a du sens pour l’avenir.” Et toi-même ?