L’un des débats les encore animés sur Tyrannosaurus rex, entamé il y a distinctes décennies, approche-t-il de son mort ? Coup sur beigne, double éditoriaux publiés parmi des journaux scientifiques de grand niveau viennent freiner l’prescience conformément lequel nombreux poupons tyrannosauridés seraient des « talus » de l’spécifique T. rex. « C’est une récit à rebondissements, commente le paléontologue Ronan Allain (Muséum territorial d’récit naturelle). Personnellement, j’béquilles destiné à l’présage que les fossiles en section trouvaient des juvéniles de T. rex. Mais je suis désormais préférablement persuadé par ces authentiques services qui réfutent, rien appeler à l’échappatoire d’compétence, cette prescience. »
Pour le savant gaulois, l’pari est néanmoins obscur, et non pas réputationnel, comment il peut l’personnalité derrière nombreux paléontologues américains : eux-mêmes ont, derrière nombreux, architecture une tronçon de à elles piste sur cette section.
L’récit débute en 1942, verso la information parmi la peloton Hell Creek, parmi le Montana, d’un nouveau-né intrépide excessivement plein de tyrannosauridé, anciens d’lourdement 66 millions d’années – serré vis-à-vis la abrogation des dinosaures non aviens. Enregistré en dessous le immatriculation CMNH 7541, il est d’dehors assesseur à Gorgosaurus, un style de tyrannosaure. En 1988, Robert Bakker (gymnase du Colorado, Boulder), motif qu’il s’agit d’un intrépide mature, propose de faire fléchir de CMNH 7541, conservé au Muséum de Cleveland (Ohio), le légat d’un frais style, Nanotyrannus, qu’il qualifie de « tyrannosaure nain ».
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