“Un rêve pour tous les passionnés de sport mécanique” : Valentin Sarreaud, pompier bagnolais, s’apprête à quereller son 7e Dakar

Valentin Sarreaud est pompier à Bagnols-sur-Cèze et employé le course depuis ses 20 ans. Du 3 au 17 janvier, il disputera, en tellement que co-pilote, son 7e Dakar, l’une des courses automobiles les encore prestigieuses du monde.

Participer au Dakar, c’est un rêve et une belle aventure pour tous les passionnés de sport mécanique“, confie Valentin Sarreaud. Le pompier bagnolais de 38 ans disputera son septième Dakar en janvier (du 3 au 17), attenant de vingt ans puis ses genèses en course.

J’ai commencé en 2007 par des rallyes régionaux, avec des amis pour m’amuser. Puis, grâce au bouche-à-oreille, j’ai fait des rallyes du championnat de France avant d’intégrer la formation rallye jeune qui m’a permis de participer aux rallyes du championnat du monde“.

En 2019, le Vézénobrais participe à son chef Dakar, en tellement que co-pilote de Michael Pisano. S’il ne prend pas valeur à l’impression 2020, il reprend l’période suivante derrière un froid barreuse, préalablement de découvrir Christian Lavieille en 2023, qu’il ne déchargé encore.

“Ça fonctionne très bien avec lui. C’est un vieux briscard, qui a plus de vingt Dakar à son actif. On a la même vision de la compétition et on veut faire le maximum avec les moyens qu’on a. On a le même état d’esprit et on s’entend bien dans la voiture mais aussi en dehors”.

“Je suis habitué à gérer des situations de stress”

Sapeur-pompier à Bagnols depuis douze ans, Valentin Sarreaud profite de ses entraînements publications et de ses missions contre se élaborer à une circonvolution quand le Dakar qui oraison singulièrement une ténacité intact du chaussette. “Il y a pas mal de parallèles avec le métier de pompier qui m’aide dans ma fonction de navigateur. Puis, quand on passe plus de 10 heures dans la voiture chaque jour, il faut être prêt physiquement et mentalement. Je suis habitué à gérer des situations de stress, et à prendre des décisions importantes à l’instant T”.

Depuis triade ans, le Gardois participe pareillement au course du Maroc qui se déroule en octobre. Une généreuse exécuter de s’amener contre le Dakar accompagnant lui. “C’est comme un mini-Dakar, c’est une préparation idéale. L’objectif est de rouler et de prendre de l’expérience. En tant que co-pilote, il faut être à l’aise dans la navigation, donc si je fais seulement le Dakar chaque année, c’est juste“.

Lors de la circonvolution autotracté qui se déroule en Arabie saoudite depuis 2020, Valentin Sarreaud et Christian Lavieille roulent contre l’meute MD Rallye. En janvier, ils viseront le top 10 au ordre indécis. “Il y a des voitures beaucoup plus performantes que la nôtre. Finir dans les dix premiers serait un très bon résultat“, confirmé le pompier.

“J’ai trouvé cela très dangereux”

S’ils ne joueront pas la domination au indécis, les quelques nation espèrent en retour dresser comme la sous-catégorie quelques roues motrices, comme lesquelles ils ont déjà parfait 2e en 2023 et 2024. Cette période (janvier 2025 NDLR), on avait seulement abandonné, souligne le Vézénobrais, qui a curiosité de reprise.

Identiquement affectueux de trial, Valentin Sarreaud a pensé à engloutir valeur au Dakar comme la sorte quelques roues il y a une paire de années. Mais, puis tenir rencontré dissemblables pilotes, il a exécuté par se démettre l’noumène. “Après avoir discuté avec eux et vu ce que ça représentait, j’ai trouvé cela très dangereux. Ça demande une préparation dingue, il ne faut pas le prendre à la légère. Je pense que c’est un défi encore plus gros qu’en voiture”, estime-t-il.

En attendant, le guindé bagnolais donnera entier contre garnir ses équitables comme la sorte autotracté derrière Christian Lavieille et tentera ainsi pas de disjoncter son chef armoiries parmi les quelques roues motrices.

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