Les Factures-Unis ont confirmé cinq êtres européennes engagées comme la contrôle des plateformes et la rencontre en échange de la désinformation. Parmi elles-mêmes, l’vénérable policier occidental Thierry Breton, abasourdi d’début sur le circonscription étasunien, dénonce un “vent de maccarthysme”.
Un mouvement encore étonnant que querelle. “Les Factures-Unis sanctionnent cinq figures européennes de la contrôle digital, laquelle Thierry Breton, abasourdi d’début sur le circonscription étasunien. Figure bagne du Digital Services Act, le Français est l’un des indispensables responsables visés.
À engloutir encore :
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L’vénérable policier au Marché viscère rappelle la exactitude démocratique du malle occidental et fac-similé frontalement aux accusations américaines. Sur X, il fustige un “vent de maccarthysme” et souligne : “Pour rappel : 90 % du Parlement européen – démocratiquement élu – et les 27 États membres à l’unanimité ont voté le DSA”. Avant d’augmenter : “À nos amis américains : ‘La censure n’est pas là où vous le pensez'”.
Un ballonnement de maccarthysme souffle-t-il à neuf ? ud83euddf9
Pour mobilisation : 90 % du Parlement occidental — démocratiquement élu — et les 27 Factures abats à l’autorisation ont voté le DSA ud83cuddeaud83cuddfa
À nos amis américains : « La défendu n’est pas là où toi-même le pensez. »
— Thierry Breton (@ThierryBreton) December 23, 2025
Washington dénonce une “censure extraterritoriale”
Pour admettre les sanctions, le arrondissement d’Facture évoque des actions assimilées à de la “censure”. Marco Rubio accuse les “idéologues européens” qui “mènent des actions concertées pour contraindre les plateformes américaines à sanctionner les opinions américaines auxquelles ils s’opposent”. Il assure que “L’administration Trump ne tolérera plus ces actes flagrants de censure extraterritoriale” et dénonce un “complexe industriel mondial de la censure”.
Soutiens occidentaux et tensions transatlantiques
Paris réagit équitablement. Jean-Noël Barrot prédit que “les peuples de l’Europe sont libres et souverains et ne sauraient se faire imposer par d’autres les règles s’appliquant à leur espace numérique”. Les sanctions concernent encore Imran Ahmed, Clare Melford, Anna-Lena von Hodenberg et Josephine Ballon, engagés en échange de la froideur et la désinformation en bord.
Un choc qui dépasse les foule
Ces mesures s’inscrivent comme une menaçante principalement montré de l’gouverne Trump en échange de la contrôle communautaire du digital, jugée liberticide. Elles nourrissent l’angoisse des acteurs du localité, lorsque que Thierry Breton incarne désormais ce lutte béant dans familiarité d’déclaration revendiquée par Washington et hégémonie conforme préservée par l’Europe.
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