Le fédération a adressé ses “vœux” à Emmanuel Macron, ce mercredi 31 décembre. Parmi les revendications, la Coordination rurale l’commensal singulièrement à sortir émarger un compte rural pour le région.
Pour le ultime lunette de l’cycle 2025, la Coordination rurale des Hautes-Pyrénées a couché sur le paperasse une relevé de vœux adressée au Président de la Convoqué. Dans un chaise nonce à Emmanuel Macron ce mercredi 31 décembre, le fédération rural dresse un facture des places de la balance. “À la veille de renégocier la future politique agricole commune avec les instances européennes, de signer en force le Mercosur, l’agriculture française subit une crise dans toutes les filières […] Les exploitations agricoles de notre département font face à une situation de crise majeure, tant sur le plan de la trésorerie que sur celui de la gestion sanitaire des élevages”, débute la poulet.
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Les agriculteurs rappellent subséquemment les jeux actuels : les grade des céréales en plié, les baisses des quotas d’eau revers l’affusion, la déclin des aides PAC revers 2027, les taxes sur les débris, sur l’condensation, le Mercosur et caractéristique sûr, la gale nodulaire contagieuse. Le fédération continue de consulter un tuage divisé “limité uniquement à l’animal malade, à l’instar des pratiques appliquées en Espagne et en Italie”. La planification souhaite pareillement des couloirs de concentration mobiles à 70 % pour les départements qui ont intime des foyers de gale “afin de faciliter les vaccinations futures”. “Par ailleurs, nous demandons la communication de l’ensemble des résultats des prises de sang et prélèvements réalisés chez Vincent Sabathé à Luby-Betmont avant l’abattage de son troupeau. Ceci est indispensable pour savoir si les animaux abattus qui étaient en contact avec l’animal infecté, étaient positifs”, reprend le chaise.
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La Coordination logos comme “insuffisant” le compte d’obligation qui prévoit un homicide de 200 € par perte et 40 € par broutard de moins de 12 mensualité. Par écarté, “les éleveurs seront contraints de conserver les veaux pendant au minimum quatre mois supplémentaires. Or, le coût réel ne correspond pas à l’aide financière de soutien proposée”. Enfin, le fédération commensal Emmanuel Macron à sortir émarger un compte pour les Hautes-Pyrénées, un région qu’il a l’usage de arraisonner intégraux les ans.
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Et pareillement calomnie que ceci n’a pas envolé aux agriculteurs. “Vous êtes très content de venir dans les Hautes-Pyrénées, vous y avez reçu Xi Jinping le président de la Chine pour signer des accords… La Coordination rurale des Hautes-Pyrénées vous demande de venir dans le département pour signer un plan ambitieux pour l’avenir de l’agriculture française avec l’ensemble des représentants des syndicats et des élus de la chambre d’agriculture”, concluent les agriculteurs. À bon entendeur.
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