En s’envolant jeudi envers l’ISS, Alper Gezeravci, un aviateur de battue de 43 ans, deviendra le primitif Turc à annexer morceau à une voyage spatiale. Un regret de panache envers la Turquie et son chef, Recep Tayyip Erdogan, qui a salué un tour de “puissance”.
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C’est une éternelle vainqueur envers la Turquie. Alper Gezeravci, un aviateur de battue de 43 ans, lesquels 21 entre l’endurcie de l’air turque, s’apprête à décapiter envers l’ISS, jeudi 18 janvier, depuis la support de Cap Canaveral, en Floride (sud-est des Bordereaux-Unis), envers une intention de 14 jours.
Le colonel Gezeravci rejoindra la répit internationale en troupe d’un Suédois, d’un Italien et d’un Espagnol à ligne d’une rouleau intestine de la couvent Axiom, qui assurera conséquemment sa autre intention en collaboration alors la Nasa.
“Nous voyons cette mission comme le symbole d’une Turquie de plus en plus puissante et affirmée”, a estimé mardi brunante le chef ottoman Recep Tayyip Erdogan. “Que ce voyage de notre frère Alper soit bénéfique à toute notre nation et à notre jeunesse” a complémentaire le contre-amiral de l’Liste en lui souhaitant “bonne chance”.
Il avait celui-là implanté la intention d’Alper Gezeravci convaincu les double tours de l’faveur présidentielle, en mai 2023, et a mobilisé à contraires reprises l’mesure de ce vol envers le état.
“Nous sommes en passe d’atteindre notre but d’envoyer un de nos concitoyens dans l’espace. Sois fière, Turquie !” lançait-il la semaine dernière, en précisant que l’spationaute conduirait 13 expériences préparées par les universités du état.
Ces rudimentaires pas entre l’distant tombent opportunément envers le chef, chagrin d’commander son état sur la incartade internationale seulement lesquels les offres de intermédiaire n’ont pas rencontré le protection qu’il escomptait, ni entre le choc convaincu la Russie et l’Ukraine ni, cet arrière-saison, convaincu Israël et le Hamas.
Pour Marc Pierini, nonce et savant allié à l’Institut Carnegie Europe, qui salue “un véritable succès” alors cette vainqueur intention d’un spationaute ottoman, “elle n’a aucun rapport avec la capacité de la Turquie à être un acteur qui influencerait l’agenda politique mondial”.
“Galvaniser la fierté nationale”
“Les fluctuations de sa politique étrangère ne laissent pas à Ankara l’espoir de jouer un rôle moteur sur la scène internationale”, prédit-il, citant les atermoiements de la Turquie sur l’Otan – elle-même n’a généralement pas concédé l’rattachement de la Suède -, ses ambiguïtés sur le choc ukrainien – entre lésine elle-même tranchée à soigner les double parties -, et son collaboration au Hamas musulman palestinien, qu’elle-même a autorisé de “mouvement libérateur” façade à Israël, “État terroriste”.
Simplement, la Turquie mène un software interplanétaire digne à flanc ses satellites et son cabinet spatiale, créée en 2018.
“Cet événement historique va permettre de valider des objectifs technologiques et de galvaniser la fierté nationale du peuple turc”, se félicite Halit Mirahmetoglu, administrateur du Centre de l’distant et l’navigation Gühem, basé à Bursa (occident de la Turquie). “Mais aussi de lancer une nouvelle ère d’innovation scientifique et de collaboration internationale” espère-t-il.
L’envoi du primitif Turc sur l’ISS incarnait le primitif des 10 justes de la diplomatie spatiale turque donnée en 2021, rappelle le accompli qui est en boulevard envers la Floride.
Alors qu’Ankara s’flamboyant depuis contraires années alors ses drones de antagonisme, à la coup performants et avantageux, Halit Mirahmetoglu insiste sur “l’interconnexion des industries de l’aviation, de l’espace, de la défense et des logiciels”.
La Turquie veut dès tandis dénombrer chez les grandes nations spatiales : elle-même sait déjà “conceptualiser, construire et gérer les opérations de ses satellites géostationnaires et en orbite basse” et liste apanage avancer surtout éloigné, assure-t-il, beauté un “écosystème spatial” exécuté.
“Le domaine de l’exploration spatiale, longtemps réservé à un club de nations développées, s’ouvre à présent à des pays émergents. C’est au tour de la Turquie de rejoindre le club des grands”, conclut-il alors étendard, escomptant des “possibilités de découvertes et d’avancements technologiques et scientifiques”.
Quant au meneur du fois, Alper Gezeravci, il rapport total le intérêt fabuleux de sa intention, se disant caution à “emporter les rêves du peuple turc dans les profondeurs de l’espace”.
“Ce voyage n’est pas une finalité pour nous, juste le moyen de parvenir aux objectifs de nos études spatiales”, a-t-il spontané à l’cabinet ouverte Anadolu. Selon la Nasa, l’ISS a accepté surtout de 275 astronautes à son ligne, en constant envers une moment de contraires salaire.
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Avec AFP
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