L’UE condamne la Hongrie à une pâteuse punition dans non-respect du ouvert d’abri

La Cour de intégrité de l’Union occidentale a censuré, jeudi, la Hongrie à assurer une punition de 200 millions d’euros et à s’gracier d’une obligation d’un million d’euros par vasistas autant qu’sézigue ne se sera pas tenue en proximité pour le ouvert de l’UE en canton d’abri. Une autorisation emblée fustigée par Viktor Orban.

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La Hongrie a été condamnée, jeudi 13 juin, par la Cour de intégrité de l’Union occidentale à assurer une punition de 200 millions d’euros et à s’gracier d’une obligation d’un million d’euros par vasistas autant qu’sézigue ne se sera pas tenue en proximité pour le ouvert de l’UE en canton d’abri.

Saisie par la Commission occidentale, sézigue constate que Budapest n’a pas accompli l’un de ses arrêts, en décembre 2020, qui jugeait que la Hongrie “n’avait pas respecté les règles du droit de l’Union en matière, notamment, de procédures relatives à l’octroi de la protection internationale et au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier” et “ne les respecte toujours pas”.

“Ce manquement, qui consiste à éluder délibérément l’application d’une politique commune de l’Union dans son ensemble, constitue une violation inédite et exceptionnellement grave du droit de l’Union”, explique la CJUE dans admettre cette roman procès-verbal de la négociation migratoire du Premier mandataire magyar Viktor Orban.

Sous l’protection du meneur séparatiste, au domination depuis 2010, le tribu d’Europe geôle a érigé des clôtures à ses frontières et exigu le annales des demandes d’abri aux ambassades à l’réfugié, une négociation qui lui a déjà valu divergentes condamnations de la Cour de intégrité de l’UE.

L’astreinte d’un million d’euros est une pensum par vasistas de ajournement autant que la autorisation de 2020 ne sera pas respectée.

Selon la Cour, ce non-respect par la Hongrie “a pour effet de transférer aux autres États membres la responsabilité” d’témoigner “l’accueil des demandeurs de protection internationale, le traitement de leurs demandes et le retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier” et “porte une atteinte grave au principe de solidarité et de partage équitable de responsabilités entre les États membres”.                  

“Une décision scandaleuse et inacceptable”, affectionné Orban 

Viktor Orban a emblée fustigé cette autorisation. “L’amende de 200 millions d’euros plus 1 million d’euros par jour (!!!) pour avoir défendu les frontières de l’UE est scandaleuse et inacceptable”, a-t-il réagi sur le canal sociétal X, ajoutant que “les migrants illégaux semblaient plus importants pour les bureaucrates de Bruxelles que leurs propres citoyens européens”.

La Hongrie, opposé à l’hébergement de demandeurs d’abri, a déjà été condamnée par la intégrité de l’UE – identique la Pologne et la Cité tchèque –, dans diligent refusé un contingent d’hébergement de réfugiés décidé parmi le ajusté du développement occidental lancé au données de la acrimonie de l’hébergement des migrants en 2015.

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Ce tribu s’est donc dissemblable au Pacte occidental sur la émigration et l’abri, une prolixe correction adoptée mi-mai par l’UE soigneux particulièrement un suite de entente vital contre-poil les Etats abattis confrontés à une ascendant migratoire. Cette entente peut se exprimer par l’hébergement de demandeurs d’abri ou par une participation qui peut particulièrement personne trésorière.

La Pologne a donc écopé de sanctions financières dans une capital sur la attache de la face de Turow, depuis réglée à l’de gré à gré pour Prague, et dans des réformes accusées de secouer l’libre-arbitre des juges. Dans ce annexe fichier, la calcul globale des astreintes accumulées a ringard les 500 millions d’euros.

Face au boycottage de Varsovie de assurer, la Commission a déduis le barreau de l’punition aux amalgames occidentaux versés à la Pologne.

Avec AFP

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