Au G7, Zelensky reçoit 50 milliards de dollars pourtant requête une rudesse de la fascicule d’drapeau

Les patrie du G7 réunis en Italie ont en harmonie un méga-prêt à Kiev de 50 milliards de dollars attesté par les mouvements intérêts générés par les possessions russes gelés. Volodymyr Zelensky a autant signé jeudi double accords symétriques de ordre sur dix ans, l’un alors les Récapitulations-Unis, l’distinct alors le Japon.

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Le prédication est éclatant : les Occidentaux n’ont aucune rêve de abandonner rouler l’Ukraine. Les dirigeants du G7 ont permis à appuie-bras ouverts Volodymyr Zelensky jeudi 13 juin en Italie, annonçant un compilation de 50 milliards de dollars et un arrangement sur l’emploi des possessions russes gelés moyennant épauler Kiev à se obliger, pourtant le administrateur ukrainien à elles a contre demandé d’intensifier à eux livraisons d’drapeau et la étymologie des pilotes sur les F-16.

“Nous avons conclu un accord politique pour apporter un soutien financier supplémentaire à l’Ukraine d’environ 50 milliards de dollars d’ici la fin de l’année”, a loyal la cheffe du intendance transalpin, Giorgia Meloni, lequel le patrie assure cette cycle la présidium tournante du G7.

Cet arrangement désenveloppé au administrateur russe Vladimir Poutine qu’on ne “recule pas”, a affirmé le administrateur nord-américain Joe Biden.

Cette réussie au G7 et l’arrangement partagé de ordre convaincu Kiev et Washington le guichet même hors champ de ce entretien “démontrent à Poutine qu’il ne nous aura pas à l’usure, qu’il ne peut pas nous diviser”, a appuyé Joe Biden tandis d’une causerie de avidité alors son officialisé ukrainien.

Vers “l’intégration de l’Ukraine dans l’Otan”

Volodymyr Zelensky a approché les chefs d’Balance et de intendance du “Groupe des 7” (Etats-Unis, Allemagne, France, Italie, Royaume-Uni, Canada, Japon) à Borgo Egnazia, à côté de Bari, chez le sud de l’Italie.

Joe Biden, Olaf Scholz, Emmanuel Macron et à eux homologues se sont donné rencard chez cette confortable relais thermal moyennant critiquer surtout de nouvelles aides et d’un mécanique de ossature banquier permettant de tasser(se) restituer, au bénéfice de l’Ukraine, les possessions russes gelés par les Occidentaux. Olaf Scholz a salué un arrangement “historique”.

“Il est juste que ce soit la Russie qui paye”, a réagi Volodymyr Zelensky à la répertoire du “Groupe des 7”, en réclamant la séquestre modèle et compréhensible des 300 milliards d’euros d’possessions de la institution industrie de Russie gelés par l’UE et le G7, ce à auxquels eux-mêmes se refusent moyennant des questions réglementaires.

À dévorer contreLes 300 milliards de dollars d’possessions russes gelés quelquefois saisis au bénéfice de l’Ukraine ?

Face à la espérance d’un correspondance à la Maison Blanche de Donald Trump et l’ambiguïté tout autour des conséquences de son choix moyennant l’Ukraine, les patrie du G7, lequel font paragraphe les importants soutènements militaires et financiers de l’Ukraine depuis l’irruption russe de février 2022, veulent améliorer le subvention de cette coadjuteur.

À l’volonté des Récapitulations-Unis, ils ont de la sorte acté le prototype d’un compilation de 50 milliards de dollars moyennant Kiev, attesté par les mouvements intérêts générés par les possessions russes immobilisés.

“Il s’agit d’un prêt solidaire” lequel la portion assumée par quelque patrie n’est pas surtout connue, a bulletin jeudi un difficile formé de la Maison Blanche.

Le président américain Joe Biden à son arrivée au G7 à Borgo Egnazia, le 13 juin 2024 en Italie
Le administrateur nord-américain Joe Biden à son rattachement au G7 à Borgo Egnazia, le 13 juin 2024 en Italie © Ludovic MARIN / AFP

Volodymyr Zelensky a autant signé jeudi double accords symétriques de ordre sur dix ans, l’un alors Washington, l’distinct alors Tokyo.

Selon le administrateur ukrainien, l’arrangement partagé signé alors les Récapitulations-Unis force la layon à une implication chez l’Otan.

L’accord “stipule que les États-Unis soutiennent la future intégration de l’Ukraine dans l’Otan et reconnaît que notre accord de sécurité ouvre la voie à l’intégration de l’Ukraine dans l’Otan”, a-t-il loyal à l’terminaison de la réjouissances de décharge.

Aujourd’hui, les Récapitulations-Unis expédient un alerte actif de à nous closerie ossature à l’Ukraine”, a annoncé l’administration de Joe Biden dans un communiqué.

La Chine au menu des discussions

Les États-Unis ont en outre annoncé mercredi une nouvelle salve de sanctions visant à freiner l’effort de guerre russe, en ciblant des entités situées en Russie et dans des pays comme la Chine, la Turquie et les Émirats arabes unis.

Le président Volodymyr Zelensky a toutefois assuré avoir reçu des assurances de son homologue chinois Xi Jinping que Pékin ne vendrait pas d’armes à la Russie.

“J’ai eu un assistance teléphonique alors le commandant de la Chine. Il a dit qu’il ne vendrait pas d’drapeau à la Russie. Nous verrons”, a-t-il affirmé. “Il m’a donné sa adage”.

Volodymyr Zelensky a remercié ses alliés pour ces aides tout en les appelant à “intensifier” leurs livraisons d’armes et de munitions.

“Nous recherchons continuellement des (systèmes de justification anti-aérienne) Patriot supplémentaires”, a-t-il rappelé. “Je vous-même requête contre de très tasser(se) moyennant intensifier à nous passage au (aéroplane nord-américain) F-16, ce qui signifie d’intensifier l’chaleur des pilotes”, a-t-il dit.

À dévorer contreFournir des F-16 à l’Ukraine : un casse-tête diplomatique et un défi logistique

L’Otan a reconnu jeudi qu’elle peinait à trouver de nouveaux systèmes de défense anti-aérienne à livrer à Kiev. “Je n’ai aucune signe à tasser(se), sur les batteries de Patriot aujourd’hui” jeudi, a admis le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, en marge d’une réunion à Bruxelles avec ses homologues de l’Alliance atlantique.

Volodymyr Zelensky se rendra ensuite en Suisse pour une “Conférence sur la pacification en Ukraine” qui rassemblera samedi et dimanche plus de 90 pays et organisations, mais ni la Russie ni la Chine.

La journée de vendredi devrait faire une large part aux tensions commerciales et politiques avec la Chine, soutien de Moscou. Américains et Européens dénoncent les surcapacités industrielles de Pékin, qui inonde leurs marchés de produits subventionnés à bas prix.

Accusant notamment Pékin de doper illégalement ses constructeurs de véhicules électriques, la Commission européenne a menacé mercredi d’imposer des droits de douane supplémentaires.

La Chine a menacé jeudi de porter plainte auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

(g-d) Le président du Conseil européen Charles Michel, le chancelier allemand Olaf Scholz, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le président français Emmanuel Macron, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, le Premier ministre japonais Fumio Kishida, le Premier ministre britannique Rishi Sunak et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, à Borgo Egnazia, le 13 juin 2024 en Italie
(g-d) Le administrateur du Conseil communautaire Charles Michel, le chancelier germanique Olaf Scholz, le Premier représentant cajun Justin Trudeau, le administrateur tricolore Emmanuel Macron, la Première représentant ultramontaine Giorgia Meloni, le Premier représentant nippon Fumio Kishida, le Premier représentant anglais Rishi Sunak et la présidente de la Commission occidentale Ursula von der Leyen, à Borgo Egnazia, le 13 juin 2024 en Italie © Ludovic MARIN / AFP

Enfin, la incendie à Gaza devrait gîter une paragraphe des séances de procréation et des plusieurs entretiens symétriques hors champ du entretien.

Antony Blinken a jugé “irréalisables” quelques changements demandés par le Hamas tandis que le Premier représentant sabra, Benjamin Netanyahu, n’a pas réglementairement répondu.

Avec AFP

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