Didier Codorniou aurait hormis peur aimé bavarder un peu mieux de rugby et de sa sollicitation à la présidium de la Société française seulement, dit-il, “il y a une crise politique et, je le pense, des institutions”. Les élections législatives sont, du lésion, promptement arrivées sur la comptoir des discussions car, quant à lui, l’moment est décisif, “les Français ne s’y retrouvent plus” et “l’enjeu de la République est trop important par rapport au RN et à l’extrême droite”.
Au institution d’une séminaire de fondé casée à la commune de Gruissan, il a mobilisé la actualité arrangement au torse du Front paysan, qu’il entériné. “Avec Edouard Rocher (maire de Coursan, NDLR), et en tant que coprésident du Parti radical de gauche, on trouve que c’est une façon d’avoir une gauche unie et responsable même si, à l’intérieur de cette gauche, avec LFI, il y a des tensions qui seront difficiles à absorber”. Aussi, il a menu à décerner un couple de exemples sur la gouvernant ruse par le RN, “que je pratique à la Région depuis une dizaine d’années. Ils sont contre loRdi qui permet à des jeunes qui n’ont pas les moyens de se payer un ordinateur, ils sont contre les éoliennes, contre l’extension du port de Port-La Nouvelle, contre les logements sociaux, sauf quand ils sont concernés comme à Béziers, Beaucaire ou Moissac”. Bref, dit-il, “il y a du populisme qui sent mauvais”.
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