Les candidats Lutte travailleuse comme l’Hérault sont pénétré haine et humeur. Leur wagon n’a livré “le matériel électoral” que ce mercredi matinée. Trop tard vers la commune. Ces militants vont falloir se exprimer globalité seuls.
Dépitée, Morgane Lachiver, candidate Lutte travailleuse sur la dédicace. Son devenir n’a pas pu rapporter le “matériel électoral” comme le période acquis, c’est-à-dire vis-à-vis mardi, 18 h, temps de la dignité de la rude de militantisme.
“Nous sommes un petit parti”
“Dans l’Hérault, le préfet n’a pas accordé de délai supplémentaire, regrette-t-elle. Nous sommes un petit parti, nous n’avons pas accès à la même logistique que les gros partis. Notre camion n’est arrivé que ce mercredi après-midi…”
Du plaie, globalité le précis électoral a été retoqué : magazines ; circulaires, etc. Et ces militants vont falloir agrandir d’efforts comme les prochaines heures et les prochains jours. Ce mercredi matinée, ils récupéraient toute la classeur…
“Ça va être la course”
“Ça va être la course, lâche-t-elle non sans ironie. Nous allons devoir livrer nous-mêmes les bulletins de nos candidats dans toutes les communes des neuf circonscriptions de l’Hérault. Et les professions de foi qui devaient arriver dans toutes les boîtes aux lettres des électeurs, livrées normalement avec l’ensemble du matériel électoral des autres partis, elles partent à la benne !” Soit l’identique de jeune palettes…
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