Agde : imprégné l’désaccord et la émancipation, un ambiance de doute à son maximum

Dans un palabre communal rien colline, jeudi 20 juin, les questions orales posées par Fabienne Varesano et Thierry Nadal en amorce de séminaire ont une jour davantage prononcé l’monstrueux fossé qui sépare les élus agathois.

C’est l’un des déguisement méchant de l’ressources Gilles D’Ettore : au hauteur du palabre communal d’Agde, le ambiance de doute et de incrimination est abordé à un carrière par hasard abouti par le passé.

Pour la minorité, qui à l’idéal de Thierry Nadal, n’a eu de cesse de écouter – inutilement – la renonciation du palabre communal contre que de nouvelles élections soient convoquées, l’vision de Sébastien Frey pour le berceuse de juge de paix n’a pas été digérée. Aussi, l’désaccord ne se prive pas de faire fléchir feu de complet châtaigneraie à l’veine des questions orales de amorce de séminaire, plus le accommodement l’y autorise.

Varesano dénonce des “emplois fictifs”

Représentante du Rassemblement citoyen, Fabienne Varesano a aussi posé de pluriels questions au juge de paix. Sur la Sodéal et les “largesses” que s’est octroyées l’vieux proviseur, pointées du prou par le ressemblance de la Cour des relevés – “une plainte a-t-elle été déposée par la Ville, actionnaire de la société ? “, s’interrogeait l’choisie –, ou la réparation des quais de la Trinquette et de Beaupré, invariablement par la Sodéal, “alors que celle du quai Jean-Miquel l’avait été par la Ville.”

Plus sérieux, Fabienne Varesano a trompé “des emplois fictifs” supposés en municipalité “et dans ses satellites”, rien alors de listes, “un système mis en place par votre prédécesseur.” “À ma connaissance, il n’y a pas d’emplois fictifs dans la collectivité”, lui répondait Sébastien Frey. “Mais dans le cas où des faits précis justifieraient le doute que vous insinuez, je serai intransigeant et ma décision serait radicale.”

Où l’on reparle des quais du Cap

Sur la Sodéal, le juge de paix, qui n’est alors employé de cette collège depuis dix ans (il l’est redevenu depuis son cooptation, NDLR), a posé à Fabienne Varesano “qu’il [s’informerait] de la situation dans les prochains jours et je reviendrai vers vous lors du conseil municipal de rentrée.” Quant à la perfectionnement des quais de la Trinquette et de Beaupré, Sébastien Frey expliquait qu’sézig avait été financée par la Sodéal, “eu égard à la nécessité de réaliser des travaux de réseaux, afin de déployer le dispositif de bornes connectées pour mieux gérer les flux (eau, électricité) utilisés par les plaisanciers.” Soit un financement de 2 millions d’euros verso la collège, tandis que les services du trottoir de Trirème, laquelle le nature d’obligation a lui comme été prononcé par le ressemblance de la Cour des relevés, “seront financés par la Ville”, annonçait Sébastien Frey.

Nadal accident feu sur le agence du juge de paix

Dans un contraire niveau, Thierry Nadal s’en prenait verso sa portion aux “conseillers de Gilles D’Ettore (les anciens membres de son cabinet, NDLR). Allez-vous oui ou non les maintenir en place ? “, demandait-il une fiction jour à Sébastien Frey. “L’ampleur de l’affaire judiciaire en cours devrait vous questionner sur leurs compétences, eux qui n’ont rien vu venir”, ironisait le spécialiste. “J’ai confirmé l’organisation des services et du cabinet”, précisait le coût juge de paix. Qui regrettait que Thierry Nadal ne l’ai pas préférablement interrogé “sur la mise en œuvre de la revitalisation commerciale du cœur de ville, qui intéresse les Agathois, ou le lancement de la saison touristique, un sujet important. Au lieu de cela, vous continuez, et je le regrette, à être dans une démarche de dénigrement et d’insinuations qui frôlent la diffamation.” Ambiance.

Comments are closed.