Clarnie, une écho programme créée par double étudiantes toulousaines, met en attache agriculteurs en accusation de main-d’œuvre et étudiants cherchant des jobs d’été ou des stages, pour l’espérance de se allonger au standing habitant acquittement à une champ de commandite participatif.
À l’arrivé de l’été, de plusieurs étudiants cherchent des jobs saisonniers envers domestiquer un peu d’capital, donc que les agriculteurs ont un soif cassant de main-d’œuvre, singulièrement envers des oeuvres chez la émasculation du maïs ou la cueillage des fruits. Deux étudiantes toulousaines, Clara et Marnie, ont repéré cette occasion et ont résultat une programme inventive, Clarnie, envers établir en attache agriculteurs et étudiants.
Renommée Clarnie, en combinant à eux prénoms, la programme est déjà vive sur les réseaux sociaux. Les fondatrices expliquent : “Lors de nos études à l’ENSAT, l’école d’ingénieurs agro de Toulouse, nous avons découvert les défis quotidiens auxquels font face les agriculteurs, notamment en matière de recrutement. Inspirées par nos expériences de terrain et nos rencontres, nous avons décidé de créer cette plateforme pour apporter une solution concrète à ces problématiques.”
“Nous nous sommes rendu compte de la complexité du quotidien”
Clarnie vise non simplement à accorder aux besoins immédiats en main-d’œuvre paysan, uniquement également à abandonner des opportunités de stages aux étudiants de diverses formations. “Quand nous avons fait nos jobs d’été ou même nos stages en tant qu’étudiantes, nous nous sommes rendu compte de la complexité du quotidien dans les métiers agricoles. C’est pour ça qu’on a voulu revaloriser tout ça et proposer aussi d’autres missions annexes. Il existe énormément d’agriculteurs qui ont besoin d’aide pour leur communication, par exemple, une création de site internet ou des choses comme ça”, explique Marnie.
Actuellement, Clarnie se concentre sur la district Occitanie, uniquement les double fondatrices ont des ambitions nationales. Elles prévoient de aborder une champ de commandite participatif envers allonger un parage internet consacré. “Ce site nous permettra d’augmenter le nombre de mises en relation entre agriculteurs et étudiants, que nous réalisons actuellement sur nos réseaux sociaux“, conclut Clara, cofondatrice de Clarnie.
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