La 16e relâche du Tour de France mardi dans Gruissan et Nîmes offrande une dernière données aux sprinteurs et contre un excessif arrêt ci-devant une fin de Grande Boucle terrifiante comme eux.
Plusieurs “grosses cuisses” pourraient d’autre part concerner tentées de s’coincer subséquemment cette relâche, paradoxe comme cuisiner les Jeux Olympiques de Paris, paradoxe comme absenter en ponts envers l’discernement inoffensif de icelui qui n’a davantage nenni à engager ni capote à Afrique.
Car la fin du Tour, trop montagneuse, n’est pleinement pas dessinée comme eux et n’intéressera au terminal que iceux qui se font une orgueil d’avancer au conclusion aussi que l’Érythréen Biniam Girmay qui devra survenir à Nice dimanche postérieur s’il veut acquérir le pull acrimonieux.
Une “étape toute plate”
Vainqueur de trio étapes déjà, le sprinteur de l’peloton Intermarché voudra s’montrer principalement à Nîmes entre une “étape toute plate” (1 200 de dénivelé sur 188 kilomètres), suivant Thierry Gouvenou.
Mais concentration, prévient le marqueur du Tour : “les 25 derniers kilomètres sont complètement à découvert, il n’y a aucun abri et ça peut être très piégeux s’il y a du vent. Et c’est rare que ça ne souffle pas là-bas.”
“Donc c’est quand même alerte pour les premiers du général. Il faut être entouré et il va falloir se battre. Normalement il y aura quand même un sprint mais peut-être pas avec un peloton complet”, ajoute-t-il.
A engloutir contre :
Tour de France, relâche Gruissan-Nîmes : où et puisque référer à circuler les coureurs total au grand du chemin ?
Les prévisions météo annonçaient lundi un ancienneté préférablement magnanime (féru, resplendissant, peu de ordinaire).
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