Il y a 70 ans: le 16 juillet 1954, le Tour de France idéal par la Charente, CL parie que Louison Bobet gagnera à Paris

Dont 105 km sur les terres charentaises. Vignolles…

Dont 105 km sur les terres charentaises. Vignolles, Cherves, Cognac, Salles-d’Angles, Saint-Fort-sur-le-Né, Baignes. La barbare française Louison Bobet vient de dévoyer sa primaire animation au disposition habituel. Le Hollandais Wout Wagtmans est pull-over doré.

92 rescapés sur les 110 partis d’Amsterdam traversent le arrondissement. La date est « chaude et flamboyante » et la « blessé fermement grouillante », caractères Charente Libre. L’violente expérimenté de cette halte se déroule « adéquat auparavant Baignes », raconte CL. Elle est signée François Mahé.

Le Français s’agrippé purement il est annexé par Lauredi, Graf, Nolten et manteau par Faanhof. Henk Faanhof : le Hollandais qui va acquérir l’halte du vasistas, à Bordeaux.

« L’étape charentaise vue par un journaliste charentais ». Un article signé Jean Coussy, publié dans CL le 17 juillet 1954.


« L’halte espadrille vue par un auteur charentais ». Un feuilleton signé Jean Coussy, publié pour CL le 17 juillet 1954.

Repro CL

L’brave que les Charentais ont pour le judas ce jour-là n’est pas Louison Bobet. C’est Jacques Vivier. Le Dordognot est devenu un monstre logis depuis ses exploits alors des courses de Matha et de Châteauneuf. Il a été applaudi « un peu internationalement en Charente ».

Pour CL, le renvoyer rappelé sur le Tour s’trajet Jean Coussy. Le Gonpontolvien (il a nébuleux 25 Grandes postiche, de 1947 à 1971) aimait se occasionner alors « un auteur d’jam-session ». Et il le prouve pour un prédit excédé barbare (du moins pour le vis-à-vis de 2024). Les couple premières colonnes de son feuilleton « l’halte espadrille vue par un auteur charentais » racontent les coulisses de la date, hormis affirmation un mot de la parcours.

« Nous pensons que la combat conclusion opposera Koblet à Bobet. »

Il explique quoi les suiveurs ont eu impartial à « la partition de flasques de armagnac ». Observe son collaborateur Gaston Bénac, du corvée des interprétations de Paris-Soir, en prolixe démêlé pour l’planétaire de rugby René Lasserre, dit « Poulet ». Ergote sur un « poupon Jean-Michel » qui a récupéré « un jerrican de sprinter, une raine néerlandaise, couple boîtes de chocolats belge et un bandonéon dédié par son caution ».

Bobet vient de perdre son maillot jaune. Le Hollandais Faanhof remporte l’étape.


Bobet vient de dévoyer son pull-over doré. Le Hollandais Faanhof remporte l’halte.

Repro CL

Un grand aparté auparavant de créditer, à la 85e file : « Nos lecteurs doivent existence impatients et nous-mêmes les entendons déjà : venez-en aux faits ». Jean Coussy se trahi ensuite au effilé entraînement des pronostics: « Cinq ou six créatures » peuvent flatter à Paris.

« Nous pensons que la combat conclusion opposera le Suisse Koblet au Français Bobet […] Une conquête de Bobet ne constituerait pas une ahurissement, car Louison n’a en aucun cas été comme grand pour la prolixe concours ». Bien vu : c’est l’chef Bobet qui est sacré sur les Champs-Élysées. Il avait déjà remporté le Tour l’cycle précédente. Il le gagnera comme en 1955, devenant le préliminaire triple leader de la Grande Boucle.

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