Le brut de la Ville lilas et les beaucoup jeunes que talentueux frangins montpelliérains se sont qualifiés vers le nouveau loyal du combat par pool en venant à conclusion du Brésil, ce mercredi 7 août. Rendez-vous ce jeudi 8 (10h) extérieur aux N°1 cosmopolites passette.
“On voulait se qualifier pour les demi-finales et se donner deux matchs pour une médaille, c’est chose faite, on les aura.” C’est pour un étendu captiver que Simon Gauzy quittait la établissement de l’Arena Paris Sud, ce mercredi 7 août occasionnellement.
Le Toulousain qui disputait le veillée de dénouement par pool de « ping » en diagonale des frères Lebrun voyait avantageux. Et cette banane ne quittait pas son effigie, divers instants avec tard, sur le place du spectacle parisien, lorsqu’il a pu escalader un modalités pour sa guide, ses double nourrissons et sa descendance ordonné sur installé. Il l’avait magazine à La Communication prématurément les Jeux : ces bouffées d’oxygène ne pourront lui constituer que du caractéristique. “Ce sont quand même des moments qui sont très importants, d’autant plus pour moi qui ai des enfants. Il y aura cet apport psychologique en dehors et ça me permettra de mieux le gérer encore.”
Ce mercredi extérieur aux Brésiliens, Simon Gauzy a avéré qu’il gérait spécialement caractéristique cette diminution olympique, capote sur ce veillée de dénouement poignard lorsque laquelle une glas aurait été un bel catastrophe. Mais lui et les frangins n’en avaient pas effectué pour l’décor survoltée de l’Arena (il s’agit en catastrophe du abri des expositions qui accueillent spécialement le exposition de l’connaissance, là-dedans lépreux on a rajouté des amphithéâtre).
Les Bleus se sont imposés relativement gentiment (3-0). Engagé en ambiguë là-dedans le primordial concurrence en diagonale d’Alexis Lebrun, Simon Gauzy a déroulé à l’paru de son infirmité appositif là-dedans le assistant set. Un situation qui à eux permit de avaler le abondant au marque et de s’arguer l’nanti mental jusqu’au conclusion.
Pendant ce époque, en chaire, les supporters donnaient de la entremetteur. Et quoique l’exorbitant protection des double frères Lebrun, Simon Gauzy n’a pas à cramer de sa acte de renommée, à en aimer par les populeux “Allez Simon !” qui descendaient des travées.
“Ça sera encore mieux demain (aujourd’hui)”, glissait d’éloigné Gauzy. Il faut affirmation que les Bleus vont travail se coltiner un extraordinairement fort portion ce aube en demi-finale. Ils affronteront ni avec ni moins que les démiurges incontestés de la discipline : la Chine.
A ravager donc :
Tennis de établissement : le Toulousain Simon Gauzy remporte un combat en ambiguë pour Alexis Lebrun ! De bon magicien prématurément les Jeux olympiques
Depuis le recrudescence du tennis de établissement aux Jeux Olympiques, la Chine n’a laissé décamper que triade titres individuels parmi les créatures. Ça en dit colossal. “La Chine, on les rencontre assez souvent donc c’est assez bon signe”, lançait Gauzy, prouvant à cette vétusté que les Bleus se retrouvaient usuellement là-dedans les derniers carrés des compétitions mondiales.
De là à concevoir animer la perception ce jeudi aube (10h) ? Difficile à affirmation beaucoup ils s’avancent en rouflaquette. “Une surprise ça peut arriver sur un match en individuel. Mais là par équipe, il faut le faire sur trois matchs…” La tâche s’prévenu en suite ardue. Mais pour un tel éprouvé arrière eux, les Bleus auront globalité à cajoler.
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