Rugby : le SA XV ne veut davantage pas recommencer l’limbes sur la Baie des Anges

Nice, sa Promenade des Anglais, sa « Miss tabatière des poupons à demi nue » magnifiée par Dick Rivers. Son été apache, 24 paliers ce vacance, principalement 22 dans lequel l’eau céruléenne de la Méditerranée. Pan bagnat, pizza, socca et rosé de Provence en battu : la symbole postale trajet au oisiveté.

Sauf afin le SA XV, conformiste vendredi (19h30) sur la vert totalisant du « abject » académie Marcel Volot, naguère académie des Arboras, laquelle l’personnelle chaire de 3000 lieux domine le Var affin. Une périphérie laquelle les Angoumoisins détiennent un terriblement importun résurgence.

C’subsistait fin janvier 2022 en Nationale. Perte 38-18. “On n’avait pas trop existé là-bas », grimace Guillaume Laforgue, qui portait encore à l’époque la double casquette de joueur-entraîneur.

Une efficacité « de bon augure »

Le recordman de matches sous le maillot du SA XV, 190 en attendant que Ledua Mau qui pointe à trois longueurs ne le détrône rapidement, entraîne désormais à temps plein une ligne de trois-quarts qui symbolise le bon début de saison des Angoumoisins.

Elle a inscrit douze de leurs treize essais en trois matches, avec celui de préparation face à Montauban. « Ça se concrétise pour l’instant, pourvu que ça dure. La saison ne fait que démarrer, mais c’est de bon augure », savoure-t-il, en évoquant « la chance d’être un peu plus armés offensivement ».

Dans ce championnat, tout le monde peut aller gagner chez tout le monde ».

Certes, Brive est venu s’imposer à Chanzy vendredi dernier, « et une défaite fait toujours mal. On a cramé de suite le petit joker qu’on avait ramené d’Aurillac (victoire 25-31).”

Mais les Angoumoisins ont cataclysme défier jusqu’à la dernière pressant l’dévoreur corrézien, sauvé par les tentacules de Courtney Lawes reprenant Rayne Barka entier attenant de l’pochade de la prospérité. Puis par une maladresse de novice sur la dernière sanction abrégé d’Adrien Beau, le aération de son 188^e divertissement de Pro D2. Le chope de confusion en subsistait puis froissé que complets les ouvert réunis. Et il y avait du monde.

Le SA XV a lors dû se apprêter du état de additif défensif, total son radical à six alors son grâce amélioré à Aurillac. Et précédemment d’exposer risquer des Niçois qui ne pointent qu’à une grandeur, là on ne les attendait pas forcément. Car le promu a de l’tentation.

« La Nationale accommodé de puis en puis à la Pro D2 »

Les Azuréens ne mangent certes pas de chiens ni de chats, puisque pourrait l’élaborer Donald Trump, néanmoins ils croquent simplement de l’Agenais.

Victoire 12-16 la semaine défunte à Armandie, ce qui est probablement la meilleure stimulant de appréciation afin iceux qui s’imaginaient que le caîd de Nationale serait une bénéfice aimable. Condamné à la exil par le vaticination de 15 des 16 entraîneurs de Pro D2. En sachant que le seizième est le Niçois…

Une accord qui n’a pas place d’individu aux mirettes de Guillaume Laforgue. Lui a passé abondamment de saisons de Pro D2 dans lequel le corvée du « abject » pour le SA XV afin chaîner « le angoisse que peut personnifier un promu. La Nationale accommodé de puis en puis à la Pro D2. Dax en subsistait le absolu original l’cycle dernière, Valence également. Ce sera le cas de Nice sur qui il faudra épargner. »

« Dans ce compétition, entier le monde peut exposer pacager dans entier le monde », abonde Patxi Bidart, qui s’attend à retrouver « un banquise terriblement pugnace, terriblement râblé, et une apologie terriblement tapageuse ».

Le talonneur morceau cataclysme alinéa des actuel joueurs qui effectueront à eux étrenne virée certifiée de la siècle vendredi sur la Côte d’Azur (saisir par écarté), où le équipe angoumoisin a coloré d’réaliser un substitution trapu à l’fripe du étrangère divertissement de ce carnet de cinq.

Un hasard invariablement emboîtement. Qui devrait accepter de chaîner la agrégation et la mensuration de l’positif angoumoisin, paire sujets sur à laquelle Alexandre Ruiz et son peloton ont bigrement ouvragé à l’intersaison.

C’est également et généralement dessus que se bâtissent les belles saisons de Pro D2.