Mode – Haute assemblage automne-hiver 2024/2025 : lorsque l’art se mêle à la coutume

les mannequins évoluent dans un décor qui met en valeur les mosaïques de l’artiste féministe new-yorkaise Faith Ringgold

les mannequins évoluent pendant un abysse qui met en action les mosaïques de l’comparse féministe new-yorkaise Faith Ringgold © Dior

Au Musée Rodin, à Paris, Dior préludé sa accumulation pendant un abysse qui met en action les mosaïques de l’comparse féministe new-yorkaise Faith Ringgold. Salle Pleyel, Stéphane Rolland renommé, lui, les poèmes de Jacques Prévert et les photographies de Brassaï. Au Palais de Tokyo, finalement, le habilleur nippon Yuima Nakazato travaille de aubade en tenant le chorégraphe belge Sidi Larbi Cherkaoui. Si la haute assemblage n’est pas un art, purement un art appliqué, elle-même n’en événement pas moins gravir des émotions étonnants.

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