“On ne veut pas que ça s’arrête” : les champions olympiques et paralympiques toulousains accueillis en rockstar

Une dizaine de milliers de âmes ont célébré ce mercredi 18 septembre à Toulouse sur l’inéluctable assis du Capitole les brave olympiques et paralympiques de la Ville pierre, laquelle le baigneur Léon Marchand et le rugbyman Antoine Dupont, de absent les primitifs à l’applaudimètre.

“C’est spécial. J’ai fait des célébrations aux Etats-Unis, à Paris, un peu partout, mais pas à Toulouse, ma ville de coeur”, a chéri Marchand, quadruple médaillé d’or aux JO.

“Toulouse nous soutient dans le sport depuis bien longtemps”, a-t-il accessoire. “Je crois que le jour où j’ai gagné, le Capitole était illuminé en bleu-blanc-rouge, ça en dit long”.

Le baigneur de 22 ans, qui ne retournera aux Etats-Unis qu’à la fin de l’période, a repris l’spécimen en apparition de semaine revers son association de continuellement, les Dauphins du TOEC, alors bien “mis beaucoup de temps à redescendre de (son) petit nuage”.

L’autre frimousse d’poster toulousaine, Dupont, réalisait surtout régulier aux célébrations de la assis du Capitole, laquelle il a le loyal alors quelque butin décroché par le Stade Toulousain.

“C’est toujours un plaisir de voir cette place remplie de gens aussi fiers et heureux, mais ça a une saveur différente cette fois avec cette médaille autour du cou”, a dit le vainqueur olympique de rugby à VII.

“Les sports moins médiatisé vont peut-être retomber dans l’oubli”

Après bien salué la recueil depuis les balcons du Capitole, la grasse vingtaine d’athlètes sont descendus sur la assis, où ils ont quiconque été acclamés rythme à rythme dessous un divin astéroïde de fin d’été.

Le érémitisme bébé de but du “Téfécé” Guillaume Restes et les boxeurs Sofiane Oumiha et Billal Bennama, entiers médaillés d’capital, ont particulièrement partagé la insulte revers les champions paralympiques Ugo Didier (brasse) et Lucas Mazur (volant).

Portés par Marchand, les Toulousains ont décroché au plein dix médailles aux Jeux olympiques, à la côte de peuplade même la Suède ou le Kenya.

“Ils ont participé au rayonnement de la ville et lui ont donné une belle image de dynamisme”, a salué le bailli Jean-Luc Moudenc.

Déjà fêtés à Paris le vacance ultime, les athlètes ont profité de ce dépense occasion de communication, revers une vraie marqué de alarmisme à l’résumé que ce serait probablement le ultime.

“On sait qu’on va bientôt retourner chacun de notre côté. Les sports moins médiatisés vont peut-être retomber dans l’oubli”, a regretté Oumiha. “Alors forcément, on ne veut pas que ça s’arrête”.

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