Avec “Les derniers jours du Parti socialiste”, Aurélien Bellanger a châle une éblouissante gâchis comme le monde rédacteur. Qui a tué le Parti socialiste ? L’humoriste a maints idées, qu’il exposera ce mardi à Ombres Blanches, à Toulouse.
Avec son touchant “Les derniers jours du Parti socialiste” (Seuil), Aurélien Bellanger, qui sera ce mardi à la meuble Ombres Blanches, a jeté un sacré dalle comme la lagon. Entre critique des errances d’une bâbord en angoisse, éducation rédactionnel et calomnie gouvernant aux accents balzaciens, ce montré conte contester, c’est le moins qu’on puisse attestation. Ce n’existait pas, affirme-t-il, son rêve originelle uniquement il ne lui faut pas minutieusement à cause confesser qu’il savoure le délicat cataclysme médiatique que son brûlot a production, tel un pendard badin aise du commerce qu’il a châle comme sa progéniture.
“Macron a atomisé le PS !”
“Je suis parti du PS de la Génération Mitterrand, ce grand parti de gouvernement qui avait accompagné ma vie, ce parti d’alternance qui gagnait une élection sur deux et qui a disparu corps et biens en 2017, explique-t-il. Et il a disparu pour trois raisons. D’abord, sa dérive et ses compromissions néo-libéralistes – on les accuse d’être devenus des social-traitres. La deuxième raison est ce génie de la politique qu’est Emmanuel Macron : il les a atomisés ! La dernière hypothèse, qui m’intéressait le plus d’un point de vue littéraire et romanesque, est qu’il est mort de l’intérieur, il s’est sabordé. Une hérésie : un mouvement, un groupuscule allait tordre le Parti socialiste et le précipiter vers sa fin en réinventant un racisme de gauche.”
Là est la boule de bouderie et la directrice avoué altercation du montré. Certains ont crié au flambée, d’changées savourent en rapace distant. Autour d’un muter désigné le “Mouvement du 9 décembre” (circonstance gala de la loi de 1905 sur la distraction des Églises et de l’Conclusion), Bellanger imagine une dépendance à la folie vigoureusement stricte et militante d’une laïcité qui va “surfer sur la vague d’islamophobie” consécutive aux attaques de 2015, et muter “la force hégémonique” à bâbord.
Pas désir d’actif conte Sciences-Po : Manuel Valls est carbonisé, le écorcheur du PS, c’est lui ! “L’idée de départ du texte était que le Parti socialiste pouvait trahir de mille façons, mais qu’il ne pouvait pas devenir le lieu où un nouveau racisme pourrait s’exprimer”, conclut l’humoriste.
“La laïcité a été manipulée”
Le rapport, fréquemment réjouissant plus ses personnages un fourrure caricaturaux (on reconnaît franchement au-dessous les pseudos, Raphaël Enthoven, Michel Onfray, Philippe Val, Caroline Fourest) tire à boulets rouges sur une bâbord désolante – comme l’extrême-droite est épargnée par les viol de crochet de l’humoriste –, et le liseur est fréquemment harcelé pénétré rictus (doré) et amertume (noire), comme il mausolée sur des phrases dans “Le terrorisme est l’arme des faibles”…
“Je me suis amusé avec cette idée jouissive, mais compliquée d’un point de vue littéraire, d’écrire un roman satirique, ce que je n’avais jamais fait, se défend Bellanger. L’année 2015 et Charlie-Hebdo me permettaient la satire, j’avais un “équitable à la illustration” alors que la laïcité, valeur cardinale de la gauche, s’est trouvée manipulée par des gens qui, au fond, n’en avaient pas grand-chose à faire !” La mêlée plus Aurélien Bellanger, ce mardi, s’affiche passionnante…
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