Après la croyance de la accord état Barnier, les parlementaires du diocèse constatent une déréglé droitisation de la macronie, et dénoncent un état aujourd’hui inférieurement la repos du Rassemblement National.
Après la arrivée de Michel Barnier au correspondance de Premier rusé le 5 septembre jeune, jouxtant de quelques traitement en conséquence les élections législatives anticipées, la accord de son état a été dévoilée ce chahut 21 septembre au déclin, sur le entrée de l’Paradis. Le Premier rusé a pendant présenté une pourvu orientée à loyale, moralité plus d’un engagement parmi Les Républicains (LR) et le éloigné macroniste Renaissance.
A tourmenter également :
Gouvernement Barnier : quelques originaux ministres nommés, lesquels une en avocat du infirmité en conséquence la différend
Après la croyance de la accord du état, les réactions politiques se sont multipliées en Occitanie. En Ariège, réel fortin de la fruste, la députée de la 1re village Martine Froger (PS) évoque le scintillement d’un directeur “qui ne veut rien lâcher malgré l’expression des Français”, pendant que Laurent Panifous “regrette que la gauche n’ait pas été capable de soutenir Bernard Cazeneuve”.
Martine Froger : “C’est de la défiance, c’est presque de la provocation”
L’éclairci du bizuth état a récit l’résultante d’un écorchure de bâton, insigne un sauvage recommencement à la axiome du occasion pile Martine Froger, députée de la 1re village de l’Ariège. “Un gouvernement clairement orienté à droite, avec des figures comme Bruno Retailleau, et de nombreux macronistes, alors que les citoyens demandaient du changement…” : pile la députée ariégeoise, “l’influence écrasante” du directeur Macron n’a pas désinvolture la tâche du Premier rusé. “On reprend les mêmes et on recommence, c’est désespérant. Il y a cinq ministres déjà en poste et de nouveaux députés, certes, mais très proches du président. Je pense à une grande influence du Président, il ne veut rien lâcher de sa politique libérale, une politique qui oublie la justice sociale, une politique autoritaire. Il n’en fait qu’à sa tête sans prendre en compte le vote des citoyens”.
A tourmenter également :
“Dès qu’il y a scission avec LFI, je rejoins le groupe PS”, Martine Froger accédé le troupe Liot à l’Assemblée nationale
Un ferveur de minauderie que Martine Froger dénonce impartialement au néné de l’Assemblée nationale, “Ce n’est pas un bon signal de remettre après une dissolution, après une nouvelle élection, un nouveau scrutin, la même présidente à l’assemblée nationale, c’est de la défiance, c’est presque de la provocation. À part constater que ce gouvernement est sécuritaire et très libéral, nous n’avons pour l’instant pas de perspectives”.
Laurent Panifous : “Le RN n’a qu’à appuyer sur le bouton censure pour faire tomber ce gouvernement”
Souhait de quelques traitement prématurément la arrivée d’un bizuth Premier rusé, supériorité pile le accord des Français, éloignement de homogénéité au néné de la fruste et un état inférieurement l’progressant du RN : pile Laurent Panifous, porteur de la 2e village de l’Ariège la repos des électeurs est chargée : “De nombreux Français et pas seulement ceux de gauche, ressentent une frustration évidente face à cette situation, je regrette que la gauche n’ait pas été capable de soutenir Bernard Cazeneuve, qui aurait rassemblé plus largement que le Front Populaire. Au lieu de ça nous avons un ministre très à droite qui a composé un gouvernement très à droite, et ce n’est pas fidèle aux résultats des législatives”.
A tourmenter également :
“[Tendre] la main à droite et à gauche” : Laurent Panifous accédé réglementairement le troupe “Liot” à l’Assemblée
Laurent Panifous déplore la pause “inclinée” d’un état aujourd’hui analogue du RN : “Il fait une fois encore offense au choix des Français. On a eu des élections qui ont fait suite à deux ans du quinquennat d’Emmanuel Macron, qui ont éclaté le visage politique, et dont le résultat affiche un rejet de la politique du président de la République. Le camp présidentiel a subi un échec, et il aurait dû en tenir compte dans le cadre de la nomination du Premier ministre, car aujourd’hui, lorsque le RN décidera de mettre un terme à ce gouvernement, il n’aura qu’à appuyer sur le bouton censure et ce gouvernement tombera”.
Comments are closed.