“J’ai une attache particulière avec Montpellier”, Geoffrey Dernis entraîne l’Atlas Paillade à l’apparition du lice de la Mosson

Champion de France pour le MHSC en 2012, l’vieillot ambiance de emplacement s’est reconverti en coach généralité proche de l’agrandisseur montpelliéraine.

À l’intime du lice de la Mosson, Geoffrey Dernis et ses coéquipiers du MHSC translation 2011-2012 ont conte les brillants jours du football montpelliérain. Douze ans comme tard, l’vieillot ambiance de emplacement se retrouve de l’distinct côté de la pupitre, au rebord du quadrangle aigrelet… Comme un coquet clignement d’œil du sort, il a été titularisé cet été coach de l’Atlas Paillade en Voisin 1 qui évolue au pédicule de l’agrandisseur héraultaise : “Il fallait forcément que je sois à côté de la Mosson, c’est l’histoire qui veut ça, sourit-il. C’est un signe sympa. Et si j’obtiens de bons résultats avec l’Atlas je pourrai dire que ce site me porte chance.”

D’également comme que le brut de Grande-Synthe pour le diocèse du Nord n’incarnait pas destiné à protéger ce toilette d’coach en conséquence sa stade qui l’a vu filtrer par Lille où il a été formé, Saint-Etienne ou principalement Brest. “À la fin de mon parcours de joueur en 2015, je suis revenu dans le coin assez naturellement. Mes filles sont à l’école à Pérols, je suis bien ici et j’ai une attache particulière grâce au titre. D’abord j’ai tenu un bar pendant trois ans puis j’ai été consultant pour France Bleu Hérault puis Mediapro.”

“Pas destiné à entraîner”

À la fin de la rapide périlleux pour le fugace promoteur de la Ligue 1, il répond à l’proclamation du directeur du canne de foot de Pérols afin adjuger un plaie de patoche : “J’ai d’abord eu un rôle de manager avant de prendre le poste d’entraîneur de l’équipe première alors que je n’étais pas du tout destiné à ça. Je suis tombé sur un super groupe, ça m’a vraiment plu de leur apprendre ce que le football m’avait donné. Le président et les joueurs voulaient que je continue, j’ai passé mon Brevet d’Entraîneur de Football (BEF) la deuxième année. Je me suis pris au jeu alors j’aimerais passer mon Diplôme d’Etat Supérieur (DES) pour entraîneur au niveau national. Pour cela, il fallait que j’entraîne, au minimum, un club de Régional 1.”

La coïncidence pour Sandrik Biton, vieillot distribué technicien et coach de l’Atlas Paillade, est donc décisive pour sa accession à la Paillade. “On a vu qu’on avait la même vision des choses, explique Dernis (43 ans). Le challenge m’a plu, il y a un bon groupe avec de bons joueurs. Je me régale.”

“L’exemple ultime, c’est le grand Barça”

Au torse du duo sur le chèvre, Geoffrey Dernis apporte son commencement du escarpé étiage et le préférable des entraîneurs qu’il a découvert : “J’aime le mouvement, les efforts… J’aime que mon équipe joue bien au ballon. L’exemple ultime, c’est le grand Barça. J’ai eu la chance de croiser des coachs qui m’ont beaucoup apporté. Halilhodzic à Lille, c’était la force du travail. Claude Puel, c’était la tactique. J’ai eu René Girard et son management à l’anglaise avec beaucoup de recul et de la liberté. À Saint-Etienne, avec Laurent Rousset qui était très joueur, je me suis régalé. Je me sers de ce que j’ai connu en y incorporant mes propres idées.”

Avec l’ex-Pailladin à sa culminant, l’Atlas accueille le FC Vauvert, dimanche (17h30) en compétition. À l’apparition du lice de la Mosson, Geoffrey Dernis a l’concupiscence d’escorter sa information doté au aiguille du football siège. Et, ainsi pas, emporter un bizut butin au football montpelliérain, cette fois-ci de l’distinct côté de la pupitre.

La bio de Geoffrey Dernis

Né le 24 décembre 1980 (43 ans) à Grande-Synthe
Parcours de joueurs : Lille (1998-2006), Wasquehal (2001-2003), Saint-Etienne (2006-2009), Montpellier (2009-2012), Brest (2012-2014), Larissa (GRE, 2014-2015)
Palmarès : Champion de France Division 2 (Lille, 2000), Champion de France (Montpellier, 2012)

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