Les maires ruraux ravis du renvoi non vitale de la capacité eau

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Les communes n’auront pas à passer automatiquement à eux influence de l’eau aux intercommunalités plus le prévoyait la loi Notre. Cela devrait priver certaines complications derrière les usagers, à en admettre Jean-Jacques Marty, directeur des maires ruraux de l’Aude.

Jean-Jacques Marty en a bondi de béatitude sur sa sofa. À l’veine des questions au pouvoir, le Premier excellence, Michel Barnier, a spontané aux sénateurs que “pour les communes qui n’ont pas encore transféré la compétence [eau et assainissement], il n’y aura plus de transfert obligatoire”. Prévu derrière 2026, ce renvoi de capacité rencontrait devenu un attesté commissionnaire de grabuge de l’Association des maires ruraux. Pour le directeur de la partie audoise, cette rupture d’ennui est de la sorte “une très bonne nouvelle”.

Rester opérant

“Ce qu’il faut que les usagers comprennent, c’est que ce transfert n’est pas forcément une bonne chose pour toutes les communes. Qui mieux que le maire connaît son réseau d’eau et d’évacuation ?” Maire du localité de St-Ferriol, en Haute Vallée, l’élu régional souhaitait à chaque certificat fumer cette capacité.

“Quand un habitant m’appelle à 3 heures du matin parce qu’il y a une fuite d’eau, le technicien municipal et moi-même nous savons très vite à quel tuyau cela correspond, où et comment couper l’eau le temps de réparer les dégâts. Si vous donnez cette gestion à une intercommunalité, qui sait combien de temps peut s’écouler avant une intervention efficace ?”

Maîtriser les coûts

Sans balancer des compétences de la corps des communes Pyrénées Audoises, Jean-Jacques Marty rappelle que ce contrée est “vaste” : 926 km², 61 communes, 15 000 habitants. Ça en fait des tuyaux à connaître et à gérer.”

Surtout, le conseiller municipal de St-Ferriol craignait que ce renvoi vitale n’ait un collision sur les ressources de l’intercommunalité et, à grandiose issue, sur les administrés. “Pour entretenir tous ces réseaux, il aurait fallu un équivalent de 29 emplois à temps plein, ce qui est énorme. Sans compter que pour uniformiser ce réseau, de gros travaux auraient été nécessaires dans les communes qui n’entretiennent pas leur réseau. A terme, ça aurait pesé sur le budget, et donc il aurait peut-être fallu demander un effort aux administrés.”

Le catastrophe que ce renvoi ne O.K. davantage vitale devrait de la sorte “limiter la casse” et sacrifier aux communes qui le souhaitent “leur autonomie”, chaque en permettant à celles qui le désirent “de s’en débarrasser”.

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