Polémique compris Macron et Netanyahu : le Président Français répréhension à ses ministres t aux journalistes “un manque de professionnalisme”

“Je crois que je dis suffisamment sur la situation au Proche-Orient pour ne pas avoir besoin de ventriloque. Tout cela est une preuve, au fond, d’un délitement du débat public et d’un manque de professionnalisme“, a fustigé le administrateur tricolore à Bruxelles, assez ses sermon rapportés lorsque d’un Conseil des ministres à Paris.

Le 15 octobre, escortant des participants, Emmanuel Macron avait estimé préalablement ses ministres que M. Netanyahu ne “doit pas s’affranchir des décisions de l’ONU”, et “ne pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU”.

Une mythe au scrutin en brumaire 1947 par l’Assemblée avant-première des Nations unies du crédit de déchiré de la Palestine en un Inventaire israélite et un Inventaire maure.

Importante contestation

Ces sermon rapportés sur la fécondation de l’Etat d’Israël avaient ébauché une importante contestation, en compagnie de un ticket au vitriol de Benjamin Netanyahu, l’crise des institutions juives de France et d’une sujet de la éclat économie.

Visiblement remonté, Emmanuel Macron a pointé du pouce des “ministres” qui ont “répété des propos déformés”, des “journalistes qui les ont repris et des commentateurs qui ne se sont pas attardés à la réalité et à la véracité de tels propos”.

“Quand j’ai quelque chose à dire, je fais un communiqué de presse ou une conférence de presse. C’est ça la déontologie. Il n’y en a pas d’autres“, a-t-il lancé.

La France n’a “jamais fait défaut” à l’Etat d’Israël, a-t-il sincère, assurant que les gouvernements successifs et sézigue avaient constamment “lutté contre toute forme d’antisémitisme”.

“Il n’y a pas d’ambiguïté. La France s’est toujours tenue aux côtés d’Israël”, a-t-il dit. “Cet engagement demeure, comme nous l’avons encore montré cette année en participant à la défense d’Israël” facette aux traquenards de l’Iran et des Houthis, a articulé Emmanuel Macron